OUVRIR LES YEUX

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. » Chamfort

vendredi 19 mars 2010

Tout est encore possible, mobilisons nous !

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"Nous, militants, candidats, politiques de la Majorité Présidentielle, nous avons compris le vote sanction du 14 mars, vote qui s’est surtout manifesté par l’abstention.
Nous avons compris que vous vouliez plus de protection, plus de justice, plus de vérité, plus d’avenir pour vos enfants, plus de bien-être dans votre travail et votre quotidien.
Les électeurs qui ont voté pour les extrêmes n’étaient pas contre l’UMP, comme les électeurs qui se sont tournés vers des partis politiques émergeants, mais ils demandent, comme la grande majorité des Français, plus de fermeté face aux voyous, face aux bandes, face aux incivilités dont sont victimes chaque jour et partout nos citoyens, et plus de rigueur dans les dépenses, plus d’emplois pour les travailleurs, plus de bonheur pour nos enfants.
Rassurez vous. Le message a été clair. Votre message de défoulement et d’abstention.
Notre message, en retour, sera cette fois de vous avoir entendu et de vous répondre avec loyauté.
Nous avons compris que vous ne vouliez plus d’excuses, que les voyous qui semblaient pardonnables par leur soi-disant pauvreté, par leur soi-disant condition de vie, ne l’étaient en fait pas du tout. Nos parents aussi étaient pauvres, bien plus pauvres après une guerre terrible, et ne sont pas pour autant devenus des voyous ou des voleurs, des récidivistes du malheur, mais bien des femmes et des hommes, français de souche ou non, chrétiens, juifs, musulmans, athées, qui nous ont courageusement inculqué des valeurs, hélas de plus en plus bafouées, de plus en plus moquées, les valeurs de notre République, au prix de leur jeunesse, de leurs vies, de leur liberté pour notre bien être, notre vrai bonheur, dans la peur de ne plus vivre ce qu’ils ont vécu.
Nous ne devons plus avoir peur, nous ne revivrons plus la guerre et sa conséquence terrible, la grande pauvreté.
Car ce n’est plus le cas.
Nous voulons donc une France heureuse, saine, où il fait bon vivre en harmonie avec tous. C’est ce que vous venez de nous dire, et nous en prenons acte. Nous en avons désormais conscience.
Nous voulons avec vous changer cette politique du malheur, vous montrer que nous irons jusqu’au bout avec vous, pour vous dire que vous aviez raison de nous faire confiance.
Nous viendrons vers vous pour vous le prouver chaque fois qu'il le faudra.
Pour cela, en France, la politique doit changer, se préoccuper de chacun, de tous, et montrer une justice ferme envers ceux qui ne l’aiment pas, ceux qui ne respectent pas notre histoire, aujourd’hui et demain, comme notre destin et celui de nos enfants. Une justice qui condamne, et non une justice qui pardonne. Un état qui incite à travailler là où le travail existe, et non là où le travail n’est qu’un leurre. Et que chaque diplôme soit en harmonie avec la demande du marché du travail, et non pas avec l’idée d’un diplôme qui ne sert à rien.
Nous avons aussi compris que la gauche qui dépossède les Français en augmentant les impôts, en créant des dépenses inutiles, en faisant du clientélisme électoral, n’est pas majoritaire pour gérer la France, loin de là. Mais elle restera majoritaire tant qu’il y aura l’abstention, car nous n’avons pas assez apporté de réponses à vos vraies demandes, à vos vraies attentes, à ce que vous vouliez vraiment.
Il n’est pas trop tard, quand on sait combien les réformes ont largement commencé à faire changer la France, partout, dans chaque ville, Département, Région, malgré une crise mondiale qui a en quelques mois plongé des familles dans le désarroi, crise que la France a surmonté, même si des sacrifices se sont fait à notre dépend, crise qui se voit encore mais dont nous nous éloignons, crise qui a limité nos ambitions tout en nous imposant plus de vigilance. Nous sortirons plus fort de cet obstacle si vous nous faites confiance.
Car il n’est pas trop tard pour porter avec vous une politique moderne, neuve, lisible et qui répondra à vos attentes.
Il n’est pas trop tard pour vous dire que votre message est très clair, et que nous répondrons à votre attente du 14 mars.
Nous avons entendu et compris votre message, et nous travaillerons pour affirmer ce que je viens d’écrire.
Soyez rassurés. La vérité maintenant est claire. La France veut ce que nous vous donnerons, ce que nous ferons ensemble.
Nous vous ferons aimer la France.
Nous vous ferons aimer vos Régions.
Nous viendrons vers vous. Et nous reviendrons vers vous chaque fois qu'il le faudra !
Le 21 mars, nous vous ferons aimer votre choix.
Olivier LAPIERRE. Majorité Présidentielle. Candidat avec Thierry Mariani et Jean Michel Ferrand dans le département de Vaucluse et en Région Provence-Alpes-Côte d’Azur. "

1 commentaire:

anonyme a dit…

SAVEZ VOUS SUR QUOI ONT BUTé LES GRANDES NEGOCIATIONS entre le PS et les Verts-Rouges?
en Bretagne:

«Jean-Yves Le Drian, PS, a proposé dix sièges alors qu'en appliquant la règle proportionnelle sur nos 12,21 % de suffrages, nous arrivions à quatorze élus », regrette Hascoët le Vert.
«J'ai proposé une représentation à hauteur proportionnelle du score réalisé par la liste d'Europe Écologie, soit 12 % et donc 10 postes » replique le PS.

En PACA,avec VAuzelle, inquiet pour sa place dorée,tout a été rapidement conclu, au besoin en déménageant des candidats.