Un intéressant commentaire que nous mettons en article, en espérant que l'intervenant n'y verra pas d’inconvénient. Merci à lui
""""Anonyme a dit...MODEM-UDI(MO.DI) -UN JOYEUX BORDEL AU NIVEAU NATIONAL chez les MO-DI...AU JUSTE QU"EN EST IL A CARPENTRAS???
La
nature a horreur du vide, a-t-on coutume de dire. L'adage se vérifie
une fois de plus avec l'absence prolongée, pour cause de maladie, de
Jean-Louis Borloo à la tête de l'UDI. "Il sera indisponible jusqu'à
l'été", indique son entourage. Autrement dit, Jean-Louis Borloo ne peut
ni mener le combat pour les municipales ni - plus crucial encore pour
l'UDI - orchestrer la campagne des européennes. L'UDI se trouve donc
privée de sa figure de proue au moment où François Bayrou, son allié,
est donné favori à Pau. "Si Bayrou remporte Pau, il pèsera encore plus
lourd. Déjà qu'on ne parvient pas à le maîtriser", craint-on à l'UDI, en
proie à la division de ses barons qui se disputent déjà
l'après-Borloo...
La négociation des places sur les listes
européennes donne lieu à des jeux de pouvoir dans lesquels Bayrou ne
trouve pas, en face de lui, de résistance organisée. Le chef du MoDem a
ainsi imposé Marielle de Sarnez comme tête de liste aux européennes en
Ile-de-France. La même a également réussi, en passant directement un
accord avec l'UMP, à figurer en deuxième position (donc éligible) dans
le 6e arrondissement à Paris au détriment d'une sortante de l'UDI... et
alors même que l'implantation originelle de Sarnez était dans le 14e
arrondissement. Un tour de force !
L'UDI n'a plus de chef, mais un "coordinateur"
Pendant
ce temps-là, des élus municipaux du MoDem continuent de faire bloc avec
des maires socialistes, comme à Dijon, dans le sillage de François
Rebsamen, ou encore à Lille où le logo du MoDem apparaît sur le tract de
Martine Aubry. Cherchez la cohérence... L'UDI ne peut donc se fier
complètement au MoDem de Bayrou et, de l'autre côté, ne peut pas non
plus faire confiance à l'UMP de Jean-François Copé, prompt à dégainer
des candidats contre les têtes de liste UDI.
En l'absence de
Borloo, l'UDI se cherche donc un visage et une voix qui porte. La seule
question de l'intérim de Borloo a donné lieu, en coulisse, à une
bataille rangée. L'homme de confiance de Borloo, Yves Jégo, aurait dû
être intronisé "président par intérim". Mais aussitôt les barons ont
fait barrage. Il a fallu que, du fond de son lit, Borloo se fende d'un
tweet qui ne tranche pas vraiment la question du leadership : "Merci à
l'équipe dirigeante qui gère collectivement : Hervé, Jean-Christophe,
François... et Yves pour la coordination." Yves Jégo n'est donc que
"coordinateur" puisque, pour rien au monde, Hervé Morin, Jean-Christophe
Lagarde ou François Sauvadet n'auraient accepté un président, fût-il
par intérim... Une situation qui consacre durablement l'affaiblissement
de l'UDI.
Sarkozy maudit les siens du soutien à Bayrou
C'est
dans ce contexte que Rama Yade, l'une des rares figures connues du
grand public à l'UDI, s'est vu proposer de reprendre du service en vue
des européennes. Elle n'était demandeuse de rien. On lui a d'abord
proposé un parachutage sur la liste "Nord" face à Marine Le Pen. Rama
Yade n'a point voulu d'un parachutage. Ensuite, il a été envisagé de la
placer en troisième position de la liste Ile-de-France conduite par
Marielle de Sarnez. Mais, là aussi, pourquoi placer en troisième
position une personnalité qui est censée porter la campagne des
centristes ? Une incohérence qui repose sur le fait que Bayrou a menacé
de quitter l'Alternative (UDI-MoDem) si Marielle de Sarnez n'était pas
tête de liste. Et Borloo a cédé...
Dans cet attelage, Bayrou
avance ses pions. Sa victoire à Pau le rendra incontournable. Nicolas
Sarkozy, qui ne s'y est pas trompé, maudit tous les jours Copé, Juppé et
Fillon qui ont accepté de tendre la main à celui qui avait appelé à
voter Hollande en 2012... Et pendant ce temps, Borloo n'est plus sur le
ring.
11 commentaires:
Pour info:
MUNICIPALES PARIS - Le président de l'UDI Jean-Louis Borloo a protesté samedi contre la publication d'une première liste de candidats UMP-UDI-MoDem aux municipales à Paris, jugeant qu'elle ne respectait pas l'accord passé entre les trois partis le 5 décembre.
"Une liste aujourd'hui a été publiée et ne correspond pas à cet accord", avec notamment l'absence des noms de quatre candidats UDI, écrit-il dans un communiqué.
Il s'agit de la conseillère de Paris Edith Gallois dans le XIIIe arrondissement -où la tête de liste revient, selon la liste, non à elle mais à Fadila Méhal (MoDem)- et dans d'autres arrondissements, d'Olga Johnson (VIIIe), de Mustapha Saadi (XVIIIe) et de Raoul Delamare (XXe).
Cette liste a été publiée samedi matin par Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate de la droite et du centre à la mairie de Paris, Marielle de Sarnez et Christian Saint-Etienne, chefs de file respectivement du MoDem et de l'UDI dans la capitale.
Cette publication et la protestation de Jean-Louis Borloo interviennent le même jour que l'annonce par l'homme d'affaire Charles Beigbeder d'une liste dissidente de droite à Paris.
"Nous n'osons imaginer qu'il s'agit d'une erreur"
"Après une journée de négociations le 5 décembre dernier dans le bureau de Jean-Louis Borloo à l'Assemblée nationale, un accord global et précis à été arrêté en présence de Marielle de Sarnez représentant François Bayrou, Nathalie Kosciusko-Morizet et Jérôme Peyrat (pour l'UMP, ndlr), Jean-Louis Borloo, Hervé Marseille, Yves Jégo et Jean-Christophe Lagarde, pour l'UDI", déclare Jean-Louis Borloo.
"Cet accord a fait l'objet d'une confirmation définitive par mail et notamment par Nathalie Kosciusko-Morizet, ce même jour à 20h25", ajoute-t-il. "Cet accord définitif et équilibré prévoyait le rapport de force politique pour les municipales à Paris, le nom et la place de chacun pour chaque arrondissement", poursuit l'ancien ministre.
"Une liste aujourd'hui a été publiée et ne correspond pas à cet accord, avec notamment l'absence des noms d'Edith Gallois, tête de liste, d'Olga Johnson, de Mustapha Saadi et de Raoul Delamare", s'indigne Jean-Louis Borloo. "Nous n'osons imaginer qu'il s'agit d'une erreur et qu'un accord aussi clair et précis n'est pas remis en cause de manière unilatérale. Cela poserait un problème politique et de confiance", conclut le président de l'UDI.
"D'après l'accord, je devais être tête de liste dans le XIIIème" a réagi Edith Gallois samedi. "A la présidentielle, j'ai voté François Bayrou au premier tour et Nicolas Sarkozy au second, alors que Fadila Méhal (MoDem, placée en tête de liste dans la liste publiée, ndlr) a voté François Hollande aux deux tours et Jean-Marie Le Guen (PS) aux législatives", a-t-elle affirmé. "Allez expliquer cela aux électeurs de la droite et du centre !", s'est-elle exclamé.
"L'attitude du MoDem dans la préparation des listes des municipales est de nature à plomber l'Alternative" (l'union UDI-MoDem), a déclaré pour sa part le sénateur Jean-Arthuis, vice-président de l'UDI, à l'AFP.
C'est un rebondissement inédit dans une campagne municipale au Mans, qui plus est à sept semaines du premier tour : la droite se retrouve sans tête de liste. Alain Pigeau, investi par l'UMP en juin 2013, est évincé.
Alors que la liste UMP-UDI devait être dévoilée ce lundi midi, les rédactions sarthoises ont été averties en milieu de matinée d'un report à jeudi de la conférence de presse où devaient être présentés les noms des co-listiers d'Alain Pigeau. Avant de finalement recevoir le communiqué confirmant l'éviction de l'avocat manceau.
Principes pas respectés
Selon le communiqué signé de Fabienne Labrette-Ménager (secrétaire départementale de l'UMP), Dominique Le Menèr (président départemental de l'UMP) et Véronique Rivron (chef de file de l'opposition au conseil municipal du Mans), la composition de la liste telle qu'elle devait être présentée ce lundi "ne respecte en aucun cas les principes adoptés au plan national entre l'UMP et l'UDI. Compte tenu de ces circonstances Monsieur Alain Pigeau n'est plus habilité à conduire la liste d'opposition mancelle et nous amène à désigner une nouvelle tête de liste. Celle-ci sera présentée dans les prochains jours". C'est-à-dire jeudi selon nos informations.
Joint par France Bleu Maine, Dominique Le Menèr explique : "Notre tête de liste n'a pas rempli le mandat qui lui avait été fixé. Les règles de l'équilibre des forces et des professions doivent être respectées par tout le monde. L'UMP départementale a été tenue à l'écart des négociations [avec l'UDI, NDLR]".
"Je n'accepte pas cette façon de faire de la politique" - Michel Gourdel, président de l'UDI dans la Sarthe
Le président sarthois de l'UDI Michel Gourdel, informé de l'éviction d'Alain Pigeau par France Bleu Maine, tombe des nues : "Je ne sais pas ce qui se passe vraiment. Vous êtes en train de m'apprendre qu'Alain Pigeau n'est plus tête de liste pour l'UMP. Moi, je ne renie pas mes accords : j'ai signé un accord avec M.Pigeau, en présence de Dominique Le Menèr et Fabienne Labrette-Ménager. Que l'UMP change la tête de liste sans nous concerter (sic) et moi je n'accepte pas cette façon de faire de la politique. Je suis rentré à l'UDI pour faire de la politique autrement." Michel Gourdel laisse entendre que l'union entre la droite et les centristes a sérieusement du plomb dans l'aile : "On a fait une liste d'union, et en aucun cas, je n'irai avec l'UMP en changeant de tête de liste à 50 jours des municipales. C'est leur problème, pas le mien."
Un communiqué de l'UDI72 transmis en fin d'après-midi indique que "l’UDI de la Sarthe prend acte du retrait de l’investiture UMP à Alain PIGEAU. [...] Yves BROCHARD et l’UDI 72 soutenus par l’UDI Nationale réaffirment leur soutien à Alain PIGEAU qui conduit toujours le rassemblement du Centre et de la Droite Républicaine au Mans".
Une campagne compliquée
Ce dernier épisode vient s'ajouter à une série de rebondissements, à commencer par le départ de l'ex-numéro 2 d'Alain Pigeau, Anne Beauchef. Il y a dix jours, Alain Pigeau déclarait sur France Bleu Maine qu'il était prêt à abandonner la tête de liste pour permettre la fusion avec l'UDI, avant d'être finalement confirmé comme chef de file.
Et on voudrait nous faire croire que "tout va très bien madame la Marquise tout va très bien...la...la..LA,,la...
.
La suite de "Tout va très bien Madame la marquise...Tout va très bien. A l'UDI.........
Une autre guerre des chefs va-t-elle avoir lieu pour la présidence d’un parti politique ? C’est probable mais cet affrontement n’aura pas le retentissement médiatique de celui qui oppose Fillon et Copé à Paris. Il s’agit « seulement » de la présidence du nouveau parti centriste (de droite) l’UDI, mais la présidence de la fédération du Loiret s’entend.
Samedi dernier, le Parti radical s’est réuni à Orléans autour de son président Pascal Vilain et de quelques membres parmi lesquels Jean-Louis Bernard, l’ancien député de la 3 ème circonscription qui veut rester actif dans le parti. C’est au printemps que l’UDI doit se donner un patron dans le Loiret. On ne sait qui sera l’heureux élu, mais les Radicaux valoisiens savent bien de qui ils ne veulent pas, Florent Montillot, pourtant secrétaire général adjoint à Paris de l’UDI. « Pas de lien trop fort avec un exécutif local » dit-on au PR, le message et clair, les adjoints de Serge Grouard en mairie d’Orléans ne sont pas les bienvenus. Outre Florent Montillot, ces anathèmes excluent-elles de facto, Alexandrine Leclerc et Martine Grivot, cette dernière adhérente directe à l’UDI dont le nom a récemment circulé pouur la présidence et qui jure ses grands dieux que cela ne l’intéresse pas ? En tout état de cause, le Parti radical ne souhaite pas que les anciens du Modem de la mairie d’Orléans, recyclés à l’UDI, postulent pour le poste de président.
A l’UDI du Loiret la guerre des chefs aura bien lieu.
LES NOUVELLES SONT BONNES!!!
Porté par un contexte politique favorable, le parti de Marine Le Pen compte sur les élections municipales pour étendre son implantation à l'ensemble de l'Hexagone. Si le FN semble en mesure de se maintenir dans de nombreuses villes au second tour notamment dans ses zones d'influence habituelles (Nord-Pas-de-Calais, Lorraine, Alsace, Paca et Languedoc-Roussillon), ses chances de conquérir des villes sont plus minces. L'état-major frontiste se montre prudent mais ne cache pas que ses cibles prioritaires se situent parmi les villes moyennes (10.000 à 30.000 habitants). C'est dans cette catégorie que se trouvent les villes "prenables", comme Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), Tarascon (Bouches-du-Rhône), Carpentras (Vaucluse) ou Beaucaire (Gard). Le FN fonde de gros espoirs sur Forbach (Moselle), où se présente Florian Philippot, le n°2 du parti, et sur Saint-Gilles, le nouveau fief camarguais de Gilbert Collard. Après sa victoire en octobre 2013 dans le canton de Brignoles, le frontiste Laurent Lopez veut récidiver aux municipales. Mais la plus belle prise du Front national pourrait se situer dans une autre commune du Var – Fréjus (51.000 habitants) – longtemps terre d'élection de l'ancien ministre libéral François Léotard.
A CARPENTRAS qu'en est-il ?
Une tete de liste de droite est alliée avec l' UDI officiellement , lequel UDI dirige certaines villes avec les socialistes et soutient Bayrou a PAu , qui a voté a gauche aux presidentielles .Remarquons que cette tete de liste locale est ele meme plutot centriste en politique comme elle est socialiste en affaires (C'est mieux dans sa poche que dans la votre
L' autre tête de liste , liste UMP , se revendique du CENTRE. Or l' UDI étant déjà engagée par ailleurs, ce ne peut être que le MODEM !!... et le Modem a combattu le gouvernement précédent de droite et a fait gagner Hollande en appellent a voter pour lui!!!
Voilà la droite dite "fréquentable "(par eux seuls )
Alors JE LE DIS HAUT ET FORT , JE soutien et je voterai BLEU MARINE et à Carpentras:je vote HERVE DE LEPINAU !!!
Pour dire le sérieux de cette droite... ""fréquentable""... , vous avez un Aubert qui depuis qu'il a sauté en parachute sur l' aérodrome ,IL Y A UN AN , ne sait toujours pas écrire correctement le nom de ses concurrents.. ...surtout celui de l' avocat DE LEPINAU , qui est avocat à Carpentras depuis 20 ans !
hier soir je suis allé à la présentation de la liste rbm , j'y suis allé parce que des gens de droite disait qu'il n'y aurait que des gens sans valeur, inintéressants et alors je peux vous dire que j'ai été agréablement surpris, les six personnes qui ont parlé ont vraiment bien parlé, avec leurs tripes et beaucoup d'humanisme. il y avait beaucoup de monde et les gens ont écouté avec beaucoup d'attention .beaucoup d'applaudissemnts, je voterai pour eux sans complexe.
Mon petit doigt me dit que pour CARPENTRAS on nous prépare la même chose!!!!
Plusieurs candidats UMP dont ceux de Forbach et d’Hénin-Beaumont annoncent d’ores et déjà qu’ils appelleront à voter et à faire voter socialiste contre les candidats du Front National au second tour des élections municipales.
Une fois de plus, le masque tombe, dévoilant le vrai visage de ce parti unique qu’est devenu l’UMPS.
La manœuvre n’est pas nouvelle, nous rappellerons qu’en 2009 lors de la municipale partielle d’Hénin-Beaumont, Nicolas Sarkozy, alors Président de la République, s’était félicité en des termes très clairs de la défaite du Front National : « Quand Chirac a été élu face à Le Pen, la gauche a appelé à voter pour lui. Quand c’est la fille Le Pen face à un candidat divers gauche, on n’hésite pas une seconde ».
Alors même que Jean-François Copé appelle aujourd’hui les électeurs « à dire stop à Hollande », ses candidats sont prêts à se vendre aux socialistes, à ce parti que ce même Jean-François Copé qualifiait en 2010 de « gauchiste et archaïque »
Les électeurs patriotes qui subissent depuis des mois la folle politique du gouvernement socialiste sont désormais prévenus : l’UMP fera élire des maires socialistes le 30 mars prochain.
A Carpentras depuis 1982 (date de la création de la section locale-chez Marc au 2ieme étage- pour les plus anciens!!!!!!)
Le seul vote d’espoir et d’opposition au système UMPS c’est le vote Front National
Faire une importante différence dés le premier tour avec les autres listes reste la clé de la réussite pour la liste RBL/FN
Municipales 2014 : Nicolas Sarkozy prédit une grosse défaite de l'UMP!!!
inchallah ……pour Carpentras et ce dés le premier tour.....
Une branlée". Voilà le mot que Nicolas Sarkozy aurait employé pour définir l'ampleur de la défaite de l'UMP aux élections municipales en 2014. Selon le Canard enchaîné paru ce mardi, l'ex-président est extrêmement pessimiste sur le déroulement des prochaines échéances électorales. "Paris, c'est plié, et Marseille risque d'être perdu. Il n'y aura que très peu de gains, qui ne contrebalanceront par les pertes de 2008. Le PS va s'en sortir et le Front national gagnera des villes" aurait prédit Sarkozy qui estime que les résultats de l'UMP ne seront pas meilleurs lors des élections européennes.
"Il n'y aura donc pas de vague bleue, et on parlera surtout dans les médias d'une vague bleu Marine", aurait encore assuré l'ancien président de la République. Par ailleurs, toujours selon l'hebdomadaire, Nicolas Sarkozy aurait affirmé à un proche que s'il revenait en politique, ce ne serait pas "avant septembre ou octobre".
Un pessimiste de l'ex-président qui tranche avec la position de Jean-François Copé qui pronostique depuis des mois "vague bleue aux municipales". L'avenir dira lequel des deux avait raison.
Read more at http://www.atlantico.fr/pepites/municipales-2014-nicolas-sarkozy-predit-grosse-defaite-ump-940354.html#66Vkvl7Qm86L1mpg.99
A l'U.M.P C'est aussi le gros bordel!!!Lisez ce qui suit- car cela reste édifiant- pour les militants et les sympathisant!!!
Jérôme CHARTIER(rien a voir avec l'ancien Maire de Carpentras)est député et Porte Flingue de F FILLON. Leurs gros soucis "comment faire battre le FN et gagner la Présidentielle 2017!!!!
.Jérôme Chartier, que nous avons aussi rencontré à plusieurs reprises, ajoute : « J’ai été parfois mal à l’aise, et Fillon aussi, durant cette campagne. Plus on utilise le vocabulaire du FN, plus les gens iront voter FN. Sarkozy aurait eu plus de chance s’il avait tenu un discours plus modéré. Cette façon qu’il a eue, comme à Toulon, de parler des immigrés, ce n’est tout simplement pas possible ! »
Plus question non plus, pour Fillon, d’assumer en bloc le bilan du quinquennat. « Quand on perd une élection, on a le devoir d’en analyser les raisons ; on est obligé de se remettre en cause, sinon c’est un bras d’honneur aux Français », accuse-t-il. « Il faut rembobiner le film à l’envers pour comprendre », ajoute-t-il. Le programme, d’abord, n’était pas son programme. « Moi, en 2007, j’ai totalement soutenu Sarkozy, mais cela ne veut pas dire que son projet était totalement le mien. Il était le leader, mais sur beaucoup de sujets, j’aurais aimé faire les choses différemment, notamment sur la dette, les déficits, les finances publiques. » Tout juste le reconnaît-il : « Sarkozy allait dans la bonne direction, mais ces priorités, qui sont les miennes, n’étaient pas au cœur de son programme. » Sous-entendu : s’il m’avait écouté, il aurait pu l’emporter…
En conclusion- si ma Tante a avez nous l'appellerions Tonton.....
Rififi à la permanence de Bernard Chaussegros
Ce soir 18h30 à la permanence de Bernard Chaussegros (candidat officiel de l’UMP aux municipales Avignonnaises) il était nécessaire de serrer la main du docteur Marcucci le valet de cérémonie pour être admis à l'intérieur.
Eric Brouard ex adhérent UMP (ex militant RPR) d’Avignon présent à l’entrée de la permanence de Bernard Chaussegros et invité par celui-ci a refusé de serrer la main de Philipe Marcucci. Malgré les quelques précisions sur son attitude à la demande du conseiller de Marie Josée Roig Eric Brouard s’est vu refusé l’entrée dans la permanence du candidat aux municipales et a été prié de bien vouloir quitter les lieux. Le candidat de liste Marcucci lui a fait comprendre que se tenait ce soir une réunion entre amis et que ce lieu était privé et non ouvert à tous les citoyens Avignonnais ou non. Eric Brouard a donc constaté que tout le monde n’était pas admis ce qui démontre le caractère anti démocratique de cette réunion. Bernard Chaussegros a-t-il été mis au courant de cet incident ? Le local de campagne est-il pris en compte dans les comptes de campagne, dans ce cas c'est un lieu public et non un lieu privé avec conditions d'entrée.
Eric Brouard précise qu’il n’a rien contre Bernard Chaussegros et pense que la candidature d’un « non politique » de surcroit chef d’entreprise est une démarche positive et démocratique. Cependant il signale au candidat officiel UMP qu’il est très mal entouré et que l’attitude de certains de ses colistiers lui fera surement perdre cette prochaine élection.
Dans l’échange un peu vif entre l’ex militant RPR et Le nouveau militant UMP ce dernier a précisé qu’il avait travaillé beaucoup sur une période de 32 années et n’était indemnisé pour sa fonction d’élu Avignonnais que de 400 euros mensuels. Et quel est le montant de son indemnité en tant qu’élu et vice-président de la COGA ? Il y aurait-il un emploi fictif ? vu que ce poste n'est pas évoqué ponctuellement par l'interressé.
Les citoyens électeurs rappellent à Monsieur Marcucci que l'élu est au service du citoyen et non l'inverse.
Philippe Marcucci vice président de la COGA (COmmunauté de communes du Grand Avignon) aurait soutenu le fils de Marie Josée Roig qui aurait bénéficié d'un emploi fictif.Il est également médecin expert et vit en grande partie grace à des expertises médicales liées à des retraits (ou annulations) de permis de conduire pour alcoolémie au volant. Il a intérêt (principalement financier) à ne pas s'impliquer dans la baisse de ce type de délit, d'où incompatibilité avec un mandat d'élu. La délinquance fait vivre ce type de médecins peu scrupuleux.
Suite au comportement de Philippe Marcucci Eric Brouard appelle à ne pas voter pour la liste Chaussegros.away
Après l'UDI des nouvelles du MODEM!!Quel Bordel!!Ils n'ont vraiment honte de rien!!
Par contre que la GAMELLE doit être bonne!!!!
Nous aimerions connaître la position politique-sur ce sujet-du candidat soutenu par le MODEM sur CARPENTRAS!!!!!
Le MoDem marseillais a décidé de se mettre "en congé" du MoDem pour rallier le candidat PS à Marseille Patrick Mennucci pour les municipales, a-t-on appris dimanche auprès du secrétaire général adjoint du parti centriste, Christophe Madrolle. "Nous nous mettrons en congé du MoDem afin de ne pas brouiller l'image et appelons à un rassemblement autour de Patrick Mennucci", a indiqué à l'AFP Christophe Madrolle, élu communautaire à Marseille. L'annonce officielle en sera faite lundi après-midi lors d'une conférence de presse, a précisé Christophe Madrolle.
Réunis sous le sigle "Démocrates Marseille", les centristes marseillais ont présenté à la tête de liste PS "15 points programmatiques", axés notamment sur l'écologie et la démocratie, a indiqué Christophe Madrolle.
Le président du MoDem, François Bayrou; avait récemment écrit au patron du MoDem des Bouches-du-Rhône, Jean-Luc Bennhamias, pour lui reprocher de vouloir faire alliance avec le PS marseillais aux élections municipales. Jean-Luc Bennhamias, par ailleurs député européen et vice-président national du MoDem, avait répondu qu'il n'avait "d'ordre à recevoir de quiconque". François Bayrou, qui a fait alliance avec l'UMP pour les municipales de Pau (Pyrénées-Atlantiques) avait exprimé sa préférence pour l'UMP Jean-Claude Gaudin, qui se présente pour un quatrième mandat à Marseille.
Des discussions avec Pape Diouf
À la mi-février, les centristes marseillais ont par ailleurs interrompu leurs discussions pour faire une liste commune avec Pape Diouf, ancien président de l'OM, qui a annoncé sa candidature au début du mois.
"Nous n'avons pas obtenu de réponses claires sur le programme, sur le fond du déroulement de la campagne, sur le positionnement au second tour. Nous pensons que la candidature de Pape Diouf devient une simple candidature de témoignage qui ne représente pas grand-chose", avait expliqué Christophe Madrolle.
Lors des municipales de 2008, le MoDem avait rallié les listes PS au second tour, contre "l'avis" de François Bayrou. Depuis, le parti fait l'objet de divisions internes.
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