OUVRIR LES YEUX

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. » Chamfort

mercredi 26 février 2014

La fibre optique à Carpentras....un projet départemental

 Francis Adolphe, on le sait bien, est le  roi des coucous.....le roi des menteurs... ... et même un gourou manipulateur.  Ecoutez le  sur la vidéo  d'une réunion de quartier  mise sur son site internet.

Il s'adresse à son public d'une voix douce, suave, monocorde pour  hypnotiser son public. On dirait même qu'il veut les  asservir pour mieux  les lobotomiser.   Il n'y a pas à dire cet homme est machiavélique....sarcastique sous des allures de dandy  séducteur et comédien.
 Son ancienne équipe municipale, des marionnettes terrorisées qu'il avait su rétribuées  pour mieux les tenir...les mandats arrivant à  terme la boite de pandore est ouverte..et je ne vais pas  mettre en doute les propos criants de vérité de Mme Bosserai..nous ne partageons pas les mêmes idées mais elle sait que Mr Adolphe n'est pas digne d'être Maire de Carpentras
 Le choix se resserre à Carpentras, entre un affairiste, un carriériste, un menteur manipulateur égocentrique,  un idéaliste de gauche baffoué et  meurtri et des bisonours utopiques ..

Mon choix personnel  est fait malgré que sur les différentes listes il y ait des gens parfaitement intègres et sympathiques ....les Carpentrassiens  sauront bien choisir. 

 On  dit qu'il faut voter pour une personnalité et non pour un parti...mon choix est fait et vous le savez déjà/  

 ¨Pour en revenir au Pinocchio  rose   que nous brulerons à Carmentrann tant il aura été source de maux. ( tiens c'est une idée un carnaval en février) ..nous entendons que grâce à lui..parce que bien sur Fleure Pellerin a contacté notre grand homme!

 Mr Adolphe fait encore sien le plan d'installation de la fibre optique  sur Carpentras!
 Mais, c'était  déjà un projet Départemental -----,
 qui suit la modernisation  logique de notre Pays-----------Je vous laisse découvrir les données sur le site ci-après , vous pourrez trouver aussi le dossier 2011 du Conseil Général!!!! 

   CLIC sur       https://lafibre.info/vaucluse/carte-fibre-optique-vaucluse/

10 commentaires:

anonyme a dit…

Vous avez l'art de lever des lièvres mais vous avez oublie que le député Aubert toujours magistrat à la cour des comptes ( j'ai des amis aux lions club de marseille sa mère Dominique en fait partie et il a fait une conférence en se présentant député d ela 5ème circoncription du vaucluse ET magistrat à la cour des comptes entréee 10€ )que lui aussi le coucou sur la sécurité, la fermeture de la mosquée, les croisières et dernièrement il s'est même fendu d'une lettre à orange pour la fibre optique qui ne va pas assez vite à Serres. cela me rappelle Ferrand qui faisait des lettres en faveur de se administrés et puis qui disait si cela aboutissait que c'était grâce à lui comme pour les subventions.

Anonyme a dit…


A ECOUTER CAR EN VOILA UN QUI DIT LA VERITE AU PARLEMENT EUROPEEN!!!
UN GRAND BRAVO !!!!!!
C'est court, mais violent...! Wouaouhhh ! pas de cadeaux !!



http://www.youtube.com/embed/jbLFo02jlH8

Anonyme a dit…

DES NOUVELLES DU MODEM ET UNE EXECELLENTE CONCLUSION DE PHILIPPOT !TOUT VA TRES BIEN MADAME LA MARQUISE TOUT VA TRES BIEN!!!!!!.....

Stratégie. Soutenu par l’UMP à Pau, François Bayrou (photo), qui pourrait s’installer à la mairie en mars prochain à la tête d’une majorité de droite, paie aujourd’hui les divergences au sein du MoDem sur la stratégie à adopter.




Partisans d’une alliance avec la gauche, les Marseillais Jean-Luc Bennahmias et Christophe Madrolle viennent de se mettre « en retrait » du parti pour se rapprocher du socialiste Patrick Mennucci, contre l’avis de Bayrou. Alors qu’à Paris Marielle de Sarnez fait campagne avec NKM, partout en France des accords se concluent au cas par cas entre le MoDem et, alternativement, l’UMP ou le PS.« Le MoDem n’est qu’un trait d’union entre l’UMP et le PS », raille le vice-président du Front national, Florian Philippot.
TOUS à la Gamelle!!!!

Anonyme a dit…

Le gouvernement ? Du bla-bla, du pipeau, du vent, de l’air…Comme l’équipe sortante de la ville de Carpentras………
Le ministre de l’Économie et des Finances en avait fixé et réaffirmé l’objectif à plusieurs reprises. Le déficit public de la France serait ramené au niveau symbolique de 3 % du PIB à l’horizon 2015. Très précisément, il serait encore de 3,6 % en 2014 pour s’établir à 2,8 % dès l’année suivante. L’alourdissement des impôts et la réduction de la dépense publique en étaient la garantie… Oui, mais les recettes attendues ne sont pas plus au rendez-vous que les économies annoncées. Des dépenses imprévues pourraient bien noircir encore le tableau. Bref, c’est plutôt aux alentours de 4 % (3,9 % au plus juste) que tournent les prévisions rendues publiques par la Commission de Bruxelles, et puisque nous sommes décidément de mauvais élèves, nos maîtres font planer sur notre pays la menace de sanctions.
Un million d’emplois, c’était le chiffre qu’avait laissé courir le président de la République, et qui devait être la contrepartie du considérable allégement des charges sociales pesant sur les entreprises. La courbe du chômage n’en menait pas large… Oui, mais le chef de l’État ne s’était sérieusement préoccupé ni des moyens par lesquels il obtiendrait les effets promis, ni des compensations qu’il faudrait trouver au trou creusé dans le montant des prestations sociales, ni du délai dans lequel les 50 milliards évoqués seraient réunis. Tous comptes faits, c’est entre 130.000 et 300.000 emplois « créés ou sauvegardés » (sic) que pourrait se solder le pacte de responsabilité, grande pensée du quinquennat. Si tout va bien.
L’intervention de l’armée française au Centrafrique serait de courte durée. C’est en tout cas l’engagement pris par le commandant en chef et son ministre de la Défense. Oui, mais… tout comme la gravité et l’ampleur de la crise, les responsables ont découvert en cours de route la difficulté et la complexité de l’opération Sangaris. Le niveau des effectifs et la durée de l’engagement français avaient été grandement sous-évalués. Bref, c’était une nouvelle preuve de la légèreté et de l’incapacité de ceux qui se sont fait fort, il y a deux ans, de gouverner notre pays.
Au Café du Commerce, on peut refaire le monde sur le zinc sans que cela tire à conséquence. Le ministère de la Parole, qui revient automatiquement à l’opposition, est celui de toutes les outrances, de toutes les démagogies, de toutes les solutions, de tous les miracles. Passer de la tribune au pouvoir, c’est passer du rêve à la réalité, de la parole aux actes, être confronté aux vrais problèmes, aux vrais gens, éventuellement aux vrais morts. L’exercice du gouvernement engage l’image, le prestige et le destin de la France. Il devrait être interdit aux amateurs.
DOMINIQUE jamet

Anonyme a dit…

Les CARPENTRASSIENS et les CARPENTRASSIENNES sont loin d’imaginer que ces élections ne constituent qu’un rouage d’une machinerie en vue de parfaire la gouvernance mondiale !!!!!!!
Lors des élections municipales des 23 et 30 mars 2014, les Français sont appelés à renouveler les conseils municipaux de plus 36.000 communes. Cette action, qui concerne la population dans sa vie de tous les jours, va bien plus loin qu’un simple changement de personnel, peu importe l’étiquette politique. En effet, les conseils municipaux ne sont qu’une strate de toute une organisation allant du local au global. L’ensemble doit être vu comme l’imbrication d’une série de poupées russes. Dans les tentatives d’instauration d’une gouvernance mondiale reposant sur une volonté de gestion planétaire à tous les degrés, il est nécessaire de relever l’ensemble des instituts et acteurs agissant en faveur de la démocratie locale.
Dans le cas français, l’institut assistant et conseillant les collectivités locales et les communes s’appelle « l’Association française du conseil des communes et régions d’Europe » (l’AFCCRE). Créée en 1951, elle regroupe environ 1.500 collectivités territoriales et traite de sujets divers comme l’environnement, la cohésion sociale et les financements pour des projets transnationaux. De nombreux présidents se sont succédé comme Gaston Defferre – d’où son rôle éminemment important dans les lois de décentralisation de 1982 sous l’égide de François Mitterrand –, Jacques Chaban-Delmas, Michel Barnier – désormais commissaire européen – ou encore Alain Juppé, son dirigeant actuel. Dans cette affaire, l’AFCCRE n’est qu’une branche nationale. Ses équivalents allemand (le RGRE), italien (l’AICCRE) ou espagnol (le FEMP) œuvrent dans la même voie. Pour une meilleure coordination des différentes branches nationales, celles-ci sont regroupées au niveau européen au sein du « Conseil des communes et régions d’Europe » (le CCRE).
Fondé lui aussi en 1951, le CCRE coordonne l’ensemble de ses branches nationales, sous la présidence actuelle du maire de Stuttgart Wolfgang Schuster, afin de promouvoir l’autonomie locale (cohésion économique et territoriale, environnement, etc). L’ensemble s’appuie sur un document phare élaboré dans le cadre du Conseil de l’Europe, la Charte européenne de l’autonomie locale, qui a été ratifiée par la France le 17 janvier 2007.
Fondé en 2004 à Paris, le CGLU est présidé, dès le début, par Bertrand Delanoë. Il est le résultat de la convergence de trois instituts planétaires ayant conjugué leurs efforts afin d’améliorer la gouvernance mondiale de la démocratie locale : « l’Union internationale des autorités locales », créée en 1913 (date qui révèle les ambitions anciennes de l’oligarchie), « la Fédération mondiale des cités unies », fondée en 1957 et « Metropolis », né en 1984. Ainsi, le CGLU planifie à l’échelle planétaire la gestion des villes et des collectivités territoriales. Les sujets traités sont variés : culture, égalité des genres, mobilité urbaine, planification urbaine, etc. Dans cette gestion mondiale du local, le monde est divisé en sept sections continentales. Le CCRE (la branche européenne) côtoie six autres sections régionales (l’Amérique du Nord, Asie-Pacifique, Eurasie, Afrique, Amérique latine et le bloc Proche-Orient/Asie occidentale). Dirigé en 2014 par le maire d’Istanbul, Kadir Topbaş, nous retrouvons en particulier dans l’équipe dirigeante cosmopolite Alain Juppé ou Anne Hidalgo.
Les Carpentrassiens et les Carpentrassiennes sont loin d’imaginer que ces élections municipales ne constituent qu’un rouage d’une immense machinerie en vue de parfaire la gouvernance mondiale.
Aussi chaque électrice et chaque électeur devra choisir le bon bulletin de vote FN/RBM

Anonyme a dit…

Carpentras !! vous n' avez rien à dire ...un modele dans le genre foutage de gueules !!!
J' ai bien lu
- vous avez un divers droite , cad un centriste caché , soutenu par l' UDI, qui soutient Bayrou à Pau , lequel a voté et fait voter Hollande et fait battre Sarko . Cette tete de liste travaillerait dans l' immobilier ..merci du cadeau
- vous avez un coppeiste , ump , gaulliste degauche (?????)qui affiche :"ma liste va de debout la republique au centre et meme plus moin ".... IL n' a pas le soutient de Debout la Republique , IL a recupéré sur sa liste des socialistes , et IL a donc le soutien du MODEM , puisque l' UDi est avec l' autre ! Or , le Modem soutient Menucci ps à Marseille, contre Gaudin et evidemment aussi Bayrou ...

Quant au socialiste Adolphe , ...il y a une ex...adjointe ...qui lui a ecrit une belle lettre publique , puisqu'elle circule, .... où elle dénonce .. apres 6 ans de silence ...des manipulations honteuses !

Anonyme a dit…

A LIRE ...CONSTERNANT !!!!
La corruption est d'abord l'affaire du PS




Le Parti socialiste? Corrompu jusqu’à l’os. Mardi, le patron des députés UMP, Christian Jacob, a rappelé les condamnations passées contre le premier ministre, Jean-Marc Ayrault (6 mois de prison avec sursis) et le premier secrétaire du PS, Harlem Désir (18 mois avec sursis). Le même jour, le tribunal correctionnel de Douai (Nord) a requis 6 mois de prison avec sursis contre l’ex-député PS, Jean-Pierre Kucheida, poursuivi pour abus de biens sociaux. A Marseille, les socialistes Jean-Noël Guérini et Sylvie Andrieux sont semblablement dans le collimateur de la justice. Ce mercredi, l’ancien maire PS d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), Gérard Dalongeville, poursuivi pour une affaire de fausses factures, dit vouloir faire citer François Hollande comme témoin, pour dire "ce qu’il savait comme premier secrétaire du PS du financement de la fédération". Jérôme Cahuzac, selon les confidences rapportées par son suppléant, estime pour sa part avoir "l’impression d’être un peu seul à payer". Une atmosphère nauséabonde (qualificatif qu’aime tant employer la gauche donneuse de leçons) se dégage de ce parti décadent. Il a rendu possible le scandale DSK, qui ne fut pas seulement une "affaire individuelle" mais, déjà, un comportement d’impunité. Comme l’analyse le sénateur socialiste Gaëtan Gorce : "Le PS n’est plus ! Il lui faut désormais renaître". L’élu lui reproche une "dérive clanique" née d’un "processus d’oligarchisation de l’appareil". On ne saurait mieux dire.

La "gauche morale" n’a plus aucune légitimité à se prétendre encore exemplaire. Elle ne peut désigner d’autres coupables qu’elle-même. Or, la riposte de Hollande à l’affaire Cahuzac, qui entend généraliser la moralisation politique à tous les acteurs de la vie publique, revient à exempter le PS de ses propres fautes, de ses propres mensonges. Une fois encore, les socialistes prétendent être le fer de lance d’une "République exemplaire" qu’ils ont pourtant, eux-mêmes, ridiculisée. Ce mercredi à midi, le chef de l’Etat a annoncé une série de mesures visant à imposer la transparence des patrimoines des élus et des dirigeants, à lutter contre la grande délinquance économique et financière et à mobiliser contre les paradis fiscaux. "Je serai intransigeant", a-t-il prévenu. Il ferait mieux de l’être, d’abord, avec son parti en déroute et, surtout, avec ses propres promesses non tenues, qui deviennent des abus de confiance. La moralisation de la politique est prioritairement l’affaire de la gauche enivrée de ses vertus délétères. Après la fausse urgence du mariage homosexuel, il ne faudrait pas que le gouvernement choisisse le prétexte de ses propres turpitudes pour imposer à tous la fausse urgence de la moralisation politique. La France immobile est en attente de vraies réformes. Le pouvoir aux abois ne peut les différer plus longtemps, en se trompant encore de réponse
Par Ivan Rioufol

Anonyme a dit…

Bonjour,
CE MATIN -JE VOUS INVITE A UNE PETITE REFLEXION

Qu’est-ce qu’un mensonge ? Selon le Petit Robert, c’est affirmer ce qu’on sait être faux, nier ou taire ce qu’on devrait dire. En vertu de cette définition, les exagérations partisanes, les cachotteries, les demi-vérités, sont toutes des mensonges. Et ceux qui s’y livrent sont des menteurs. En politique, à partir du premier ministre jusqu’au simple député, tous cachent, contournent, déforment systématiquement la vérité, sans en ressentir la moindre gêne. Aveuglés par le pouvoir, la gloire, les limousines, les flatteries de leur entourage, les politiciens jouent les importants et mentent effrontément.
Si le peuple est insatisfait, il a le pouvoir de les congédier et de les remplacer.
Au palmarès des mensonges en politique, ceux portant sur l’unité du parti arrivent au premier rang. Tous les partis politiques font preuve à l’endroit d’un dissident qui s’exprime publiquement, d’une intolérance digne des pires dictatures. Un député peut fort bien se dissocier d’une prise de position de son parti ; il peut manœuvrer pour la faire renverser ; il peut même comploter contre son chef. Cependant, tout cela doit s.
Le faire discrètement, dans les coulisses. Si ce député s’exprime publiquement, il s’expose aux pires sanctions et celles-ci ne viennent pas seulement du chef, mais de l’ensemble du parti, y compris de ceux qui partagent les idées du rebelle. Il y a une règle non écrite en politique selon laquelle un parti doit paraître uni, quelles que soient les circonstances.
En politique donc, le mensonge et la tromperie sont de mise. Ceux qui, par fidélité à leurs principes les plus sacrés, disent ce qu’ils pensent, sont traités en parias par leur propre parti. Autrement dit, ceux qui agissent franchement, commettent un acte ignoble, tandis que ceux qui se taisent ou camouflent leurs intentions, font preuve de respect et de loyauté. On voit bien que ce système réprime la franchise et encourage le mensonge.
Le mensonge a gangrené le milieu politique jusque dans ses moindres replis. Il est donc important de trouver les origines du mal et de chercher à comprendre pourquoi les politiciens mentent comme ils respirent. La réponse nous apparaît bien simple : Si les politiciens ont recours au mensonge, c’est parce qu’ils sont convaincus de sa rentabilité. Cette rentabilité n’a-t-elle pas été maintes fois démontrée ? Les politiciens qui sont les plus habiles menteurs sont ceux qui durent le plus longtemps et qui obtiennent le plus de succès.
Il y a-t-il un mince espoir pour que la situation change ? Il faut que la vérité devienne rentable et non pas le mensonge. Seul le peuple a le pouvoir d’effectuer ce changement, en récompensant la vérité et en punissant sévèrement le mensonge.
Finis les faux-fuyants ! Il faut élire des politiciens qui exposent les problèmes en toute sincérité et qui proposent un idéal à atteindre tout en présentant honnêtement les perspectives réelles de solutions
La condition de cette vigilance est la conviction que la vérité fait partie de nos droits ; que nous pouvons et nous devons l’exiger. Les politiciens veulent notre vote ; c’est à nous de le leur faire payer chèrement !
A CARPENTRAS comme ailleurs en France des politiciens honnêtes, il est possible d’en trouver, selon nous, mais des politiciens qui ne mentent pas ? Impossible !
Pour les élections Municipales et Européennes qui vont suivre ne soyez pas des émules de Machiavel ! REGARDEZ qui vous ment depuis 30 ans ???Alors vous comprendrez qu’il est urgent de voter pour des hommes et femmes qui feront que la vérité soit plus rentable que le mensonge, c’est dire pour le FN/RBM-Cqfd-

Anonyme a dit…

Le président tunisien Moncef Marzouki défend le port du niqab

Moncef Marzouki considère que le choix de porter le niqab relève d’une liberté individuelle fondamentale, intouchable par définition. "Le niqab est un droit acquis et inaliénable. S’il y a des doutes sur une personne portant le voile, il faut qu’elle soit contrôlée par des agents de sexe féminin", a-t-il déclaré dimanche dernier sur la chaîne de télévision nationale Watania 1
.
Cela doit créer des emplois dans les POLICES Nationale et Municipale-On nous prend vraiment pour des CONS!!!!

Anonyme a dit…

EST-CE LA MEME CHOSE POUR L’IMMAC ET STJO à
CARPENTRAS !! QUE disent sur ce sujet les têtes pensantes de « NOTRE DAME DE VIE » !!!!!!!!!

Mgr Di Falco refuse la préférence catholique dans les écoles catholiques, au profit des musulmans.
Et il se félicite que les musulmans soient majoritaires dans les écoles catholiques de Marseille. Il ne s'agit pas de convertir les musulmans, mais de se conformer à l'obsession "progressiste" de la non-discrimination. Quitte à fermer la porte à des Français de souche catholiques !
Etre l'enfant d'une lignée de familles catholiques depuis 1500 ans ne permet pas de bénéficier d'une éducation catholique prioritaire sur des enfants musulmans dont les parents veulent seulement les protéger de la déliquescence de l'école publique.