OUVRIR LES YEUX

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. » Chamfort

vendredi 13 février 2015

"Je ne vous trahirai pas" disait Sarlozy dans le Vaucluse

 
 Virer les gens....!!!Quelle arrogance!  Beaucoup ne renouvellent par leur carte, ils n'auront pas s le privilège de se faire virer...Quel dommage!
  On comprend pourquoi  NS chute dans les sondages et n'a plus la côte ....quand on ne s'appuie pas sur les militants et le peuple...ils tournent le dos! Les trahisons de l'Ump ont  commencé en 2007 avec son élection et pourtant le peuple attendait tant de lui.... Il y avait la crise bien sûr correctement gérée mais tant de problèmes sociétaux n'ont pas été réglés. Rappelons nous l'ouverture à gauche qui avait étè le début d'un certain discrédit et provoqué un certain désarroi  au sein des militants et sympathisants de l'UMP

JE NE VOUS TRAHIRAI PAS  avait il dit  à St Didier dans le Vaucluse devant une foule enthousiaste!
De quoi, devant ces lignes indécises et ce  mépris du peuple, les laisser seuls en cas de duel PS/UMP!
s lignes
"""Pour que le chef de la principale formation de l’opposition prenne ainsi sa base à rebrousse-poil, il faut surtout que la source du pouvoir ne soit pas dans le peuple souverain...

Satiriste polémiste
Interrogé dans les colonnes du Figaro, jeudi 12 février, Nicolas Sarkozy a rappelé qu’en tant que président de l’UMP, il ne transigerait jamais et qu’il n’y aurait « pas d’alliance avec le Front national », ajoutant que si des élus enfreignent la consigne à l’occasion des élections départementales du mois de mars prochain, « on virera les gens, c’est tout ! » L’ancien chef de l’État ne fait là que répéter publiquement les menaces qu’il avait adressées aux cadres de l’UMP au lendemain de son accession à la présidence du parti le 13 décembre 2014 : « Je n’accepterai jamais aucun accord avec le FN, ni local, ni régional, ni national. Ceux qui se laisseraient aller à de tels accords, ils devront quitter le parti, ou on les en fera partir. »
Si de telles déclarations étaient compréhensibles dans les années quatre-vingt, à une époque où l’immense majorité des Français pensait sérieusement que Jean-Marie Le Pen menaçait la démocratie, elles ont aujourd’hui quelque chose d’intrigant, pour ne pas dire inquiétant.

C’est intrigant car Nicolas Sarkozy – qui a beaucoup fait campagne dans sa vie – sait pertinemment que son électorat est en partie composé de frontistes qui s’ignorent et que cet électorat est majoritairement favorable à des alliances avec le FN. Il y a un an, jour pour jour, un sondage TNS Sofres indiquait déjà que 40 % des sympathisants UMP souhaitaient de telles alliances. Neuf mois plus tard, début novembre, un autre sondage commandé par le journal Marianne assurait qu’ils étaient 55 % à souhaiter des accords UMP-FN, et les élections dans la quatrième circonscription du Doubs semblent indiquer qu’ils sont encore plus nombreux aujourd’hui.
Comment expliquer, alors, qu’un dirigeant politique qui aspire à la reconquête du pouvoir prenne ainsi le risque de froisser sa base électorale. Qu’y a-t-il dans le programme du FN qui le rende à ce point incompatible avec celui de l’UMP ? Serait-ce son opposition au mariage gay ? A priori, il ne s’agit pas de cela, puisque les anti mariage gay les plus militants ne sont plus au FN mais à l’UMP. Serait-ce parce que le FN écorne parfois le tabou de l’avortement ? Non plus, puisque le FN n’entend plus revenir sur la loi Veil et que Nicolas Sarkozy n’avait pas hésité à prendre Christine Boutin dans son premier gouvernement. Y aurait-il donc des dogmes encore plus sacrés que cela pour le système ? Serait-ce la volonté du FN de sortir de la zone euro, de l’Union européenne et de l’OTAN ? On ne peut pas exclure une telle hypothèse, mais cela serait lourd de signification : cela signifierait que le gaullisme est devenu incompatible avec les valeurs de la République. Serait-ce la volonté du FN de mettre fin à l’immigration de peuplement ? Là encore, cela signifierait que l’UMP trahit sciemment ses électeurs, lesquels sont presque unanimement pour une immigration choisie et très contrôlée.
Peut-être y a-t-il un peu de tout cela, mais pour que le chef de la principale formation de l’opposition prenne ainsi sa base à rebrousse-poil, il faut surtout que la source du pouvoir ne soit pas dans le peuple souverain mais dans une élite économique et médiatique suffisamment puissante pour dicter ses choix aux élus de la nation. Il faut que Nicolas Sarkozy ait plus à perdre en contrariant cette élite qu’en contrariant le peuple. Cela signifierait ni plus ni moins que la République dont ils nous serinent les valeurs ne serait pas une démocratie mais un système oligarchique, voire une sorte d’athéocratie … et tout cela serait fort inquiétant.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour sous un ciel "gris"
Si l'on s'en tient à un seul chiffre, la population du Vaucluse gagne encore en moyenne 1 600 habitants par an. Mais il ne faut pas s'y tromper. Alors que la France continue de se peupler à un rythme plus soutenu de + 0,5 % par an, cette molle croissance vauclusienne des dernières années (de l'ordre de + 0,3 %) a été divisée par trois par rapport à la période 1999 - 2007 où elle atteignait + 0,9 % et n'est plus entretenue que par un taux de fécondité exceptionnellement élevé de 2,22 enfants par femme, soit le 8e plus élevé de France.


C À lire aussi : l'analyse de François Mariani président de la chambre de commerce et d'industrie du vaucluse "une série de rendez-vous manqués"


Le Vaucluse n'attire plus. Chaque année depuis 2007, ils sont plus nombreux à quitter le département qu'à venir s'y installer comme en atteste le solde migratoire de l'Insee, passé sous le zéro, à - 0,1 %. Un chiffre certes faible, mais qui représente tout de même une perte de 550 habitants par an alors que ce département, qui a gagné 200 000 habitants en quatre décennies, accueillait encore 1 300 nouveaux habitants par an au début des années 2 000.

Un taux de chômage de 12,8%

Cette bascule migratoire vient sanctionner la perte d'attractivité d'un territoire où les taux de chômage (12,8 %) et le taux de pauvreté (19,3 %) sont désormais les plus élevés de la région Paca et dans les huit plus importants de France.

Ici, le revenu moyen est de 210 € inférieur à la moyenne régionale, et la part des 18 - 24 ans sans diplôme ni emploi est de cinq points supérieure à la moyenne nationale. Accablantes, ces données signalent l'échec coupable de toute une classe politique qui a été incapable de se projeter sur le long terme quand ce moteur démographique suffisait encore à maintenir l'économie à flots. Aidé par sa rente agricole, le Vaucluse a cédé aux facilités de l'urbanisme commercial et s'exonérant de bâtir sur le long terme des véritables stratégies de développement de filières et de pôles d'excellence.


C À lire aussi : foncier : on bétonne pour pas grand chose


Un gigantesque Ikéa par ici, une zone logistique par là, un parc aquatique de l'autre côté... Le développement économique se résume encore à des opportunités. Privés de vision d'ensemble, les élus font des coups, créent quelques emplois à l'occasion mais aucun projet n'émerge à même de tirer l'ensemble du territoire vers le haut. "C'est un problème de fond, nos diplômés s'en vont", se désole Emmanuel Ethis, le président de l'Université d'Avignon.

C'est avec ce coup par coup destructeur que veut en finir le préfet qui a lancé son initiative Vaucluse 2040. L'objectif : faire travailler ensemble les acteurs politiques, institutionnels et économiques dans une perspective globale de développement à long terme (gestion du foncier, transports, aménagements du territoire...) Le Vaucluse a bien des atouts, tout le monde en convient. Il lui reste à trouver des hommes et des femmes de talent pour enfin les exploiter.


C À lire aussi : le point de vue de Philippe Bachimon géographe à l'université d'avignon et des pays de vaucluse "l'attrait du vaucluse ne s'adresse pas aux actifs"

Anonyme a dit…

Marine Le Pen dénonce la "politique de racisme" du gouvernement

"Trahison"


"Ceux qui ont élu M. Sarkozy avec le souvenir de la droite décomplexée de 2007 en seront pour leurs frais. Voilà une trahison de ses électeurs supplémentaire, ce n'est pas la première fois, on dirait que certains en ont pris l'habitude", a ironisé la dirigeante d'extrême droite. D'après elle, le président de l'UMP "est très affaibli, son retour est un échec." "Un certain nombre d'électeurs de l'UMP du coup reconnaissent dans le FN la capacité de porter un projet alternatif à l'UMPS", a-t-elle ajouté.

Anonyme a dit…

Discours intégral de Nicolas Sarkozy, après sa défaite aux élections présidentielles 2012
Le peuple français a fait son choix. Si vous me faites confiance… Je vous demande d’écouter ce que j’ai à vous dire, j’y ai beaucoup réfléchi…

La France a élu son Président de la République. C’est un choix démocratique et républicain. François Hollande a été élu, il est le président de la France et doit être respecté. J’ai beaucoup souffert que l’institution que je représentais n’ait pas été respectée, ne donnons pas le mauvais exemple. Je ne serai jamais comme ceux qui nous ont combattus.

Je viens d’avoir François Hollande au téléphone et je veux lui souhaiter bonne chance au milieu des épreuves. Ce sera difficile mais je souhaite de tout cœur que la France qu’est notre pays qui nous rassemble traverse les épreuves.

Pensez exclusivement à la grandeur de la France et au bonheur des Français, c’est mon ambition, c’est notre idéal.

Je veux remercier tous les Français de m’avoir choisi pour représenter notre pays pendant 5 ans. Jamais je n’oublierais cet honneur. Et dans la vie d’un homme, présidée aux destinées de la France, c’est un honneur immense.
J’ai consacré toute mon énergie, de la première a la dernière seconde. J’ai essayé de protéger les français des crises sans précédents. J’en ressors avec un amour de la France plus grand encore, avec un attachement pour le peuple français plus grand encore et avec.

J’ai tout fait pour faire gagner les idées qui nous rassemblent, je me suis engagé totalement. Vous m’avez aidé de façon extraordinaire, nous avons mené une campagne formidable contre toutes les forces, et D. sait qu’elles étaient nombreuses, qui se sont coalisées contre nous.

Je porte toute la responsabilité de cette défaite : je me suis battu sur la valeur de responsabilité et je ne suis pas un homme qui n’assume pas ses responsabilités.

J’étais le chef, et quand il y a une défaite c’est le N°1 qui assume les responsabilités. Rien de ce que j’ai dit n’était factice : je vais vous dire les choses du fond de mon cœur, quand on défend des valeurs, la seule façon d’être crédible c’est de les appliquer.

Il y trop de discours avec des mots qui ne veulent rien dire, car ceux qui les prononcent vivent le contraire de ce qu’ils disent. Trop de gens font le contraire de ce qu’ils disent, laissez-moi cette liberté très grande de vivre en accord avec ce que je dis, laissez-moi cette amour envers la France de lui dire encore ce que je pense.

Une autre époque s’ouvre. Je resterais l’un des vôtres.

Je partage vos idées, vos convictions, votre idéal, c’est les miens.

Votre idéal, c’est celui de toute ma vie et vous pourrez compter sur moi pour les défendre.

Mais ma place ne pourra plus être la même.

Après 35 ans de politique, après 10 ans à des responsabilités gouvernementale au plus haut niveau, après 5 ans à la tête de l’Etat. Mon engagement à la vie de mon pays sera désormais différent.

Mais le temps ne distendra jamais les liens tissé entre nous. Au moment où je m’apprête à redevenir un Français parmi les Français.

Plus que jamais j’ai l’amour de notre pays inscrit au fond de mon cœur. Jamais je ne pourrais vous rendre tout ce que vous m’avez donné. Pensez à la France, pensez aux Français, pensez à son unité.

J’ai été bouleversé par ces foules, ces réunions publiques. Par tous ces Français qui étaient à mes côtés. Vous ne pouviez pas me faire de plus beau cadeau. Vous ne pouviez pas donner une plus belle image de la France.

Alors ce soir donnons une plus belle image de la France, une France qui rayonne, une France joyeuse, une France qui ne regarde pas l’autre comme un ennemis, une France qui a su gagner avec moi en 2007 et sera reconnaître en 2012 sa défaite.

Une France qui sait que la vie est faite de succès et d’échec.

Soyons digne, soyons patriote, soyons français ! Soyons exactement le contraire que certains auraient voulu donner dans un cas inverse !

Merci, merci à tous.

Anonyme a dit…

C'est cela : personne ne nous trahit, ben voyons !!!! Qu'ont fait ou dit les UMP et PS, au sujet de l' UDMF (Union des Démocrates Musulmans de France) ???? RIEN DE RIEN tout comme les médias !!!!! Ce parti va avoir des représentants à Marseille, Nice, Strasbourg et banlieue Lyonnaise. Le fondateur NAGIB AZERGUI prétend : suivre l'exemple du parti de Mme BOUTIN, être favorable au vote des étrangers, pour l'entrée de la Turquie dans l'Europe, et revenir sur l'interdiction du port du voile à l'école, etc...
Ceci dit, je n'ai qu'une chose en tête : vite, vite la Marine Nationale !!!!!!!!!!!!!!!!

Anonyme a dit…

RAS LE BOL DE TOUS CES POLITIQUES QUI NOUS BERNENT ET nous disent allègrement : "Je ne vous trahirai pas" et qui n 'arrêtent pas de le faire !!!!!!!!

Ceci dit : VITE LA MARINE NATIONALE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!