OUVRIR LES YEUX

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. » Chamfort

dimanche 24 mai 2015

Si tu es en France vis comme les Français, si tu es à Carpentras vis comme les Carpentrassiens..si tu es d'ailleurs, vis comme on y vit

  LE PREMIER COMMUNAUTARISME VISIBLE  C'EST DE VOULOIR S'HABILLER COMME DANS SON PAYS D'ORIGINE...ON VOIT BIEN, PARTICULIÈREMENT SUR LE MARCHE DE CARPENTRAS OU DU SUD EN GENERAL, UNE POPULATION QUI VEUT MARQUER SA DIFFÉRENCE ET NE VEUT SURTOUT PAS SE VÊTIR A L'OCCIDENTALE. LA SECONDE C'EST DE DONNER UN PRÉNOM DE NAISSANCE DE  SON PAYS D'ORIGINE....IL N'Y QU 'A LIRE LES AVIS DE NAISSANCE DANS LES JOURNAUX OU SUR LE MAGAZINE DE LA VILLE DE CARPENTRAS.
  A L ECOLE, PLUS TARD, DEUX COMMUNAUTÉS.....CELLE D'ORIGINE MAGHRÉBINE-AFRICAINE, L'AUTRE OCCIDENTALE......PLUS TARD CE SERA SUR LE MARCHE DU TRAVAIL;; QUI A VOULU TOUT CA?



"""Si tu es à Rome, vis comme les Romains !
La segmentation de notre société en communautés est symptomatique de l'échec de notre politique d'assimilation autour de valeurs républicaines.
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La segmentation de notre société en communautés est symptomatique de l’échec de notre politique d’assimilation autour de valeurs républicaines.

Au fil de notre Histoire, nous avons réussi à faire en sorte de nous unir autour de valeurs communes plutôt qu’autour des identités particulières, qu’elles soient culturelles ou religieuses. Le sentiment d’appartenance des Français à un pays ne s’acquiert pas à la naissance au seul motif qu’elle a eu lieu sur notre territoire. C’est une question de transmission.

L’échec de nos écoles s’agissant de leur capacité à « fabriquer » des Français se mesure au quotidien

. La réforme tant décriée voulue par notre ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche va encore plus loin dans la mauvaise direction.

Les excuses au nom de la France et les commémorations d’événements aux allures de « mea culpa » généralisé ne font qu’empirer les choses. Pire encore : il semble que leur unique objectif soit de satisfaire, encore et toujours, des communautés.


S’agissant de notre démographie et des communautés, le sociologue, démographe et économiste Alfred Sauvy avait avancé l’idée d’un seuil de tolérance au delà duquel des conflits étaient inévitables.

 Sa thèse a été décriée, notamment par un certain Jack Lang, alors ministre de l’Éducation nationale, qui s’était offusqué publiquement que l’on puisse utiliser des termes de « mécanique » (la tolérance) en parlant d’êtres humains.

À la place de l’analyse scientifique, nous avonss eu droit à l’avènement de principes pseudo-philosophiques, dont il n’existe aucun fondement constitutionnel.


Il en va ainsi du « vivre ensemble », qui sonne à nos oreilles comme une projection du « droit à la différence » tant chéri par des mouvements politisés tels que l’association SOS RACISME dans les années 80, intimant l’impérieuse nécessité pour la population accueillante de s’adapter coûte que coûte aux nouveaux venus.


Au lieu de réécrire notre Histoire et de feindre les réalités, nos dirigeants seraient bien avisés de s’en inspirer, et d’ainsi comprendre que chaque fois que l’on a voulu contraindre des peuples ne partageant pas les mêmes valeurs à partager le même territoire, cela a donné lieu à des conflits meurtriers.


Peut-être serait-ce un bon début que de méditer la citation d’Ambroise de Milan qui, se référant au séjour de Saint Augustin à Rome, en avait conclu : « Si tu es à Rome, vis comme les Romains; si tu es ailleurs, vis comme on y vit. »Sébastien Jallamion

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour sous un "ciel gris"

Une réflexion matinale..

A Carpentras comme de partout ailleurs :un immigré qui ne s’assimile pas est un colon, et des colons qui ont la force pour eux — que ce soit par les armes ou par le nombre — sont des conquérants en puissance.
cqfd

Anonyme a dit…

Bonjour sous un "ciel gris"

Ajoutons : « La volonté du Peuple clairement exprimée
fonde seule la légitimité des pouvoirs exercés
et des décisions prises en son nom. »

Manifeste des Patriciens, art. 115