Pourquoi parlerions du
« ON » , pronom indéfini ?
Mais quelle idée !! Avec ces chaleurs !
Rappelez-vous, lorsque nous étions écoliers ou collégiens…
Les fameux devoirs de vacances!
Le Bled ou le Bescherelle… Remarquez le B majuscule,…. respect !
Dès le Mois d’Août, il fallait réviser ….c’était la sieste et après, les devoirs…
Nous n’y rechignons pas, nous obéissions à nos parents, il y avait une discipline spontanée.La télévision était une récompense à des heures raisonnables et surtout, il y avait moins d’illettrés en Pays de France !’
REVENONS au pronom indéfini « ON », exprimant le vague, le brouillard dans un phrase…
« ON » nous a dit…. Qui est-il? A qui ? Par qui ? Ou est-il ?
Et quand c’est une personne désignée pour tel ou telle charge qui l’utilise, nous pourrions nous demander si la charge n’est pas trop lourde pour se dérober ainsi,, jouer à cache-cache avec notre grammaire et se dissimuler derrière l’INDEFINI « ON » .
Pas besoin d'être Bachelier ou Agregé pour être surpris du nombre de " ON " employé dans l'article de la Provence du 5/7/2009 " A l'Ecole on va offrir un service public supplèmetaire"
21 « ON » , une vraie armée de l’ombre,….21, mais qui sont ces soldats de l’Ombre ?
Ouf !! DEUX pronoms personnels sortent derrière le paravent du « ON », Faites en un jeu : cherchez le « JE » . Affirmatif, celui qui ne se dissimule pas derrière l’indéfini….qui embraye le discours en assumant même si parfois cela agace !
Enfin !! Derrière les fantômes, le « jeu » timide de l’acteur, le rugissement du NOUS, qui dans sa superbe, sort du bois !! Il a mangé le « JE » ils apparaissent, sortent du vague de
l’ombre !
Les sauveurs définis…. EUX !! La municipalité socialiste « NOUS consacrons…..NOUS refaisons !
Mais , entre nous, 21 indéfinis, c’est beaucoup !!
La gestion de la ville serait-elle nébuleuse, indéfinie ?
Faite par QUI ?
Aussi, en devoir de vacances, lisez le texte, remplacez les indéfinis par les définis…. Vous ne serez pas noté, ce n’est qu’un jeu … et n’y voyez que de la malice !
Un professeur d’école corrigera, nul besoin d'agrégé !
5 commentaires:
j'ai lu l'article... pas mal!
Nous remarquerons que le premier affirmatif désigne bien la personne concernée! "J'ai constaté..."
Tous les collègiens, les parents d'élèves et la majorité des enseignants savent bien,EUX,que l'organisation entre premier et second degré est différente....
Une sacré perle...que le journaliste ,(espiègle?)souligne d'un seul trait de plume en nous apprenant que l'Adjointe à l'enseignement est professeur au Lycée Fabre........
IL ressort de plus,dans cet interview assez divertissant (!), l'idée fixe, obnubulante, obsedante, d'un syndicaliste engagé ou/et d'un enseignant partisan :
Il y aurait effectivement une "Baisse généralisée" des scolarisables ..mais "le gouvernement a une politique de restriction de poste" condamnable.
500 sur le vaucluse!!presque 10 classes!!!
Il est vrai que quelques professeurs de français en plus.........
...
permettraient à PEPITO de savoir enfin qu'interview est un nom féminin...
Merci Evelyne. Tous les jours ,sur ce blog j'apprends quelque chose.....palez en à vos amies.
Grosses bises.
Désolée, mais je ne suis pas une agregée, moi!
vous n'avez qu'à écrire "entretien", c'est du vrai français, ça veut dire la même chose, et c'est masculin ! Mais peut-être allez vous me taxer de "machisme" (autre emprunt, sans traduction possible, à une langue étrangére un peu malmenée !)
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