OUVRIR LES YEUX

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. » Chamfort

lundi 24 novembre 2014

Les hommes qui violentent leurs femmes sont des êtres faibles, des malades qui s'ignorentf: 6500 VICTIMES dans le Vaucluse et tant d'autres qui ne portent pas plainte de peur de représailles!! Carpentras n'est pas epargnée.

Ce soir  au Cinéma Rivoli
 Ciné -Débat sur les violences faites aux femmes avec la projection d'un film "Où va la nuit" de Martin Provost ....

Effectivement un Drame quotidien, moins de 20 %  de femmes osent porter plainte, et quand il y a plainte, curieusement cela traine..  traine....encore plus quand cela concerne des personnalités politiques ou autres..c'est quand même curieux, non?   Il parait que certains essaient de s'arranger avec les victimes.... se prosternent en demande  de pardon.. jurent qu'ils ne recommenceront pas..Mais ces hommes sont des malades! 
Parmi eux des  hommes malades qui nous gouvernent.... le bon Dieu sans confession!
Allez courage, Mesdames, ne vous laissez pas  asservir et manipuler!
Maintenant vous avez à Carpentras un refuge.....Mr le Maire de Carpentras Francis Adolphe   se fera un plaisir d'inaugurer  ces nouveaux locaux  et aura certainement une oreille attentive pour ces femmes violentées.DP


'''LES VIOLENCES CONJUGALES: UN DRAME QUOTIDIEN
Un lieu emblématique de notre ville, qui a vu naître bon nombre de nos concitoyens, va rouvrir ses portes. L'ancienne maternité de Carpentras, située rue Alfred Michel, a enfin trouvé un affectataire
depuis sa fermeture il y a 10 ans. C'est l'association RHESO qui devrait investir les lieux prochainement. C'est une sorte de clin d’œil du destin puisque cette association a entre autre pour objet d'accompagner les femmes victimes de violences conjugales.
Après avoir permis aux femmes de donner la vie, ce lieu d'accueil va à présent les aider à rester en vie. Cette mission répond à une
véritable urgence puisqu' environs 6 500 femmes subissent des violences dans leur couple en Vaucluse et Carpentras n'est pas épargnée.
Frapper celle qui partage votre vie, c'est comme frapper celle qui vous a donné la vie. Et pourtant il ne viendrait à personne l'idée de violenter sa propre mère. Mais les faits sont là et RHESO contribue
à restaurer dans leur dignité ces femmes blessées grâce à une prise en charge spécifique et un hébergement d'urgence si nécessaire.
Sortir de l'isolement psychologique, se libérer d'une dépendance affective toxique, admettre son statut de victime, reprendre confiance en soi, autant d'étapes nécessaires pour avancer sur le chemin de la reconstruction.
RHESO porte avec intérêt cette noble cause pour avoir organisé un colloque le 18 octobre 2011 sur les auteurs de violences conjugales en partenariat avec la ville de Carpentras. Des spécialistes de la
question (magistrats, psychologues, responsables associatifs) sont intervenus sur ce douloureux sujet, après un mot d'introduction du Maire. Cet engagement communal procède également de la
subvention accordée à l'association cette année (14 185 €) et votée à l'unanimité. Les clivages politiques doivent s'effacer quand il s'agit de la défense de valeurs universelles.
A ce titre, le 25 novembre est la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.""HDL

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour sous un ciel "gris"
Une femme décède tous les trois jours sous les coups de son conjoint ou ex-conjoint. En 2011, 146 personnes dont 122 femmes sont décédées, victimes de violences au sein du couple, indique l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), qui se base sur les recensements effectués par la police et la gendarmerie. Un chiffre en baisse de - 19 % par rapport à 2010. L'étude relève que ces meurtres sont de plus en plus souvent prémédités, puisque la part des assassinats a doublé en un an, représentant désormais 40 % des homicides volontaires.

Les victimes collatérales de ces violences sont principalement les enfants. Onze enfants mineurs et deux enfants majeurs ont perdu la vie en 2011 (contre 6 en 2010). S'y ajoutent les deux foetus de deux femmes tuées alors qu'elles étaient enceintes. Les circonstances principales des homicides, volontaires ou involontaires, sont la séparation et les disputes. Viennent ensuite la folie, la dépression et la jalousie. La strangulation est, après les armes à feu et les armes blanches, la troisième cause de décès.

Par ailleurs, l'alcool est un facteur d'aggravation des violences, présent dans un peu moins de 30 % des homicides sur conjoint. L'étude de l'ONDRP note également que près de 60 % des auteurs étaient soit à la retraite soit au chômage au moment des faits. Et dans 45 % des homicides conjugaux, les deux membres du couple étaient sans activité. Enfin, ce sont les couples mariés qui sont le plus concernés par ces décès. Mais les homicides d'ex-conjoints augmentent d'année en année.

Moins de 10 % des victimes déposent plainte

Les violences au sein du couple se traduisent aussi par des viols. En 2011, 465 viols sur conjoint (dont 419 subis par une femme) ont été enregistrés par les services de gendarmerie, soit 22,7 % de plus qu'en 2010. Les services de la direction centrale de la sécurité publique ont de leur côté dénombré 487 viols de femmes commis par leurs conjoints, soit 75 faits de plus qu'en 2010. À noter toutefois que l'augmentation des plaintes ne traduit pas forcément une augmentation des crimes.

Concernant les coups et blessures perpétrés par les conjoints, la gendarmerie nationale a enregistré 21 320 plaintes dont 81 % proviennent de femmes. Les directions départementales de sécurité publique recensent de leur côté 32 548 violences non mortelles sur conjointes ou ex-conjointes, en légère hausse par rapport à l'année précédente. Reste que moins de 10 % des victimes déposent plainte. "La partie constatée par la police est donc très minoritaire", note Cyril Rizk, responsable des statistiques à l'observatoire. D'où l'importance des résultats apportés par un autre indicateur : l'enquête de victimation réalisée par l'nsee et l'ONDRP, qui mesure le nombre de femmes s'étant déclarées victimes de violences. Et cette enquête est d'autant plus éloquente qu'elle confirme la tendance baissière des chiffres officiels.

Taux supérieur des peines planchers

"La part des femmes de 18 à 75 ans se déclarant victimes de violences physiques ou sexuelles intra-ménage (de la part d'une personne vivant avec la victime) a diminué de 0,7 point dès 2009-2010 et elle se situe à 2,5 % en 2010-2011, pour la seconde période consécutive", souligne le rapport annuel de l'ONDRP. En revanche, les femmes n'en restent pas moins exposées aux viols qui, eux, restent constants : sur deux ans, 168 000 femmes (0,8 %) se sont déclarées victimes de viols ou de tentatives de viol. La tendance baissière ne concerne pas non plus les violences physiques ou sexuelles par conjoint ou ex-conjoint qui concernent 404 000 femmes, soit 1,8 % d'entre elles. L'ensemble de ces violences concerne principalement des femmes âgées de 25 à 44 ans.

Anonyme a dit…

"Journée mondiale contre les violences faites aux femmes"


La communauté de communes COVE au pied du Ventoux , avec son president socialiste Adolphe Francis , et ses 10 adjoints ,5 PS et 5 UMP(et oui!!! mais ce n' est pas une surprise !!)...ont pris le probleme a bras le corps !!!

Ils ont fait voter une subvention à une association pour ...ECOUTER les femmes battues et victimes de violence !! simplement ECOUTER ....alors que la premiere des mesures et des les mettre à l' abri de ces malades , surtout quand elles sont face à des recedivistes ...
Non, non ... uniquement pour ECOUTER les plaintes ! Morbide ! indifference et passivité de ses élus ..
Mais quand vous saurez que des militantes socialistes , legerement passionaria sur les bords , clament haut et fort , " Il ne faut pas en parler , c 'est de la vie privée " ...vous aurez compris la mentalité des socialistes et des ump qui qui fricotent avec ......