OUVRIR LES YEUX

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. » Chamfort

dimanche 11 janvier 2015

Le bal et la mascarade des hypocrites y compris à Carpentras



 Francis Adolphe, le coquin, s'est débrouillé pour que les 7 élus et les  électeurs nombreux, plus de 5000 personnes, plus de 42% des votants,( seulement 300 voix d'écart entre la liste de Francis Adolphe et celle de Hervé de Lépinau)  ne soient pas conviés, à la minute de silence organisée par le Maire de Carpentras.  Les socialo-communistes qui se sont emparés de ce drame pour redorer leur piteux blason rétorquent qu'ils ont informé via les réseaux sociaux..mais est ce que tout le monde est fan de facebook, twitter et autre? Non! 
Est ce que le Maire dans un esprit Républicain  a informé personnellement tous les élus? Non!
 Il existe une liste noire ...surtout ne pas  inviter certaines personnes.  
C'est naturellement que les socialistes  essaient de rameter les foules.."tous derrière moi, je serai avec vous s'exclame François Hollande espérant ainsi remonter dans les sondages? Qui est dupe?   Cette récupération politique est une mascarade..tous avec nous sauf les millions de Français qui ont voté FN/RBM et tous cela avec la complicité de l'Ump qui s'est fait entourlouper alors que pour l'affaire Merah les socialistes avaient critiqué la politique de Sarlozy.


 Les électeurs se rappelleront  de cette exclusion  visant à désigner le Parti de Marine Le PEN comme coupable de ces attentats alors que les coupables sont ceux qui favorisent une immigration massive  non contrôlé avec des droits mais sans devoirs  au détriment de ceux  de toutes couleurs, de toute religion  qui eux sont d'abord Français .avant toute chose et veulent apporter leur pierre à l’édifice France! Eux ne veulent pas de communautarisme  mais un seul panache celui de la France qui les a généreusement accueillis.
Nul besoin effectivement de se précipiter derrière Hollande; Les Français l'ont bien compris qui, hier, sans bannière politique, ont manifesté dans les Villes de France, là ou se trouve le vrai peuple, là ou la douleur était sincèrement partagée. 
 Parce que c'était lui , parce que c'était moi

« « Si nous sommes aujourd’hui debout, c’est parce que nous sommes Français. Nul besoin de marcher derrière les responsables de la situation dans laquelle nous sommes.

Journaliste indépendante

Voitures folles, attentats, prises d’otages, fusillades… Le réveil est douloureux. L’insécurité n’est pas nouvelle mais le message conquérant de l’ennemi devient plus clair. Et le bilan est déjà trop lourd pour la France.
La réponse ? Un défilé d’hypocrites en tous genres. D’abord chez nous.
Que les hommes politiques qui encouragent immigration massive et islamisation du pays depuis des décennies aient la décence de se taire plutôt que de se lancer dans une « union nationale » de laquelle ils excluent le seul parti politique à qui il faut au moins reconnaître la constante clairvoyance sur la menace qui devient aujourd’hui bien réelle.
Ils se sont précipités, non-musulmans qu’ils sont tous, pour expliquer que ces islamistes n’avaient rien à voir avec l’islam pendant que des centaines d’enfants musulmans refusaient, en France, d’observer une minute de silence et que des milliers d’autres « fêtaient » partout dans le monde cet attentat…
Des attentats islamistes en pagaille, un soutien inquiétant de la part d’une grande partie de nos « chances pour la France », et c’est encore l’angélisme criminel qui sert de réplique : une marche contre « la barbarie » non identifiée, contre le racisme et les amalgames des Français… Il fallait bien que ce soit de notre faute à un moment donné.
Mais nos « élites » ne sont pas les seules à verser dans une hypocrisie révulsante. Tous les pays arabes ont dénoncé les attentats, et l’Arabie saoudite s’est même fendue d’une présentation de ses condoléances…
À quand les condoléances de cette même Arabie saoudite aux centaines de milliers de familles syriennes endeuillées par les djihadistes « modérés » qu’elle soutient ? À quand les condoléances aux familles de ces personnes exécutées parce qu’elles avaient choisi de quitter l’islam pour embrasser le christianisme ? Quelle est la sincérité d’un pays qui fait mine de pleurnicher après le meurtre de caricaturistes quand il condamne à dix ans de prison et 1.000 coups de fouet un blogueur pour « insulte envers l’islam » ?
Qui peut penser que l’Arabie saoudite condamne ces attentats ignobles quand un rapport du Parlement américain sur le 11 septembre est tenu secret en raison des très probables révélations du soutien financier de l’Arabie saoudite aux terroristes qu’il contient ?
Qui peut saluer ces larmes de crocodiles d’un pays qui consacre des milliards de dollars à la promotion de l’islam sunnite le plus radical qui soit ? Même constat pour le Qatar.
Pareil pour la Turquie dont le Premier ministre sera à Paris dimanche aux côtés de notre gouvernement. Cette même Turquie qui refuse de fermer ses frontières et accepte d’être le passage privilégié de tous ces djihadistes qui se rendent en Syrie tuer des innocents.
Fabius est muet et il a bien raison. La France vient d’être touchée par des monstres qui ont des milliers de frères de lutte qui tuent partout dans le monde, à commencer par ces « rebelles modérés » que nous soutenons depuis quatre ans avec nos alliés du Golfe.
Si nous sommes aujourd’hui déterminés à rester debout, c’est parce que nous sommes Français.
Nul besoin, pour cela, de prétendre être « Charlie » ou de marcher derrière les responsables de la situation dans laquelle nous sommes.
Nul besoin, non plus, de croire aux fables de ces pays arabes qui prétendent condamner ce qu’ils continuent plus ou moins directement à encourager.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bonjour sous un ciel toujours aussi "Gris"
Nous sommes tous des Charlots!!!
D'aucuns jugent bien trop laxiste la sanction dont écope l'élève!

C'est au collège François Raspail que se sont déroulés dans une classe de 6e, à la mi-décembre, des faits qui ont entraîné un dépôt de plainte de la part d'une enseignante. Photo F.B.


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Aujourd'hui, une enfant de 11 ans peut insulter et gifler un prof, puis continuer de venir au collège comme si de rien n'était. C'est honteux !.. Alors que la sanction aurait dû être exemplaire, la gamine est juste exclue 8 jours et on va la changer de classe"s'indigne un père d'élève, commentant ainsi une décision du Conseil de discipline du collège François Raspail.

Scandalisée aussi, la fonctionnaire victime de l'agression, qui dénonce : "Cette sentence dérisoire par rapport aux faits prouve bien que le système scolaire dérape. Il n'y a plus d'interdit, plus de cadre... Nous sommes des enseignants, pas des travailleurs sociaux ! Or aujourd'hui, nous semblons condamnés à accepter l'inacceptable."

Motif de cette colère mêlée de désespoir : des événements qui se sont produits le lundi 15 décembre, dans une classe de 6e. La professeur raconte : "Pendant que je faisais mon cours, une élève a brandi un papier où elle me traitait de p... et de s...... Je lui ai ordonné de quitter immédiatement la salle. Alors que je rédigeais le mot d'exclusion sur son carnet de vie scolaire, elle m'a asséné une gifle de toutes ses forces sur la joue gauche. Je ne m'y attendais pas. J'ai reculé et j'étais tellement choquée, que je me suis mise à pleurer. Tous les autres élèves étaient comme pétrifiés.(...) Elle me regardait en souriant d'un air narquois..."

Aussitôt déférée devant la chef d'établissement, la collégienne aurait continué d'afficher un air goguenard, sans jamais manifester le moindre remords.

Motif de dégoût supplémentaire pour la prof de maths : la jeune adolescente avait prémédité son acte, puisqu'elle l'avait publiquement évoqué quelques jours auparavant.

"Cette enfant de 11 ans, qui ne parle quasiment pas le français, qui vit dans un particulièrement milieu défavorisé et qui est rejetée par ses camarades à cause de son comportement, mérite une seconde chance, d'autant qu'elle a été poussée à agir par les autres élèves" a jugé le conseil de discipline, au grand dam de nombreux parents, qui ne manquent pas de poser le problème du manque de moyens et de solutions mis en oeuvre pour traiter ce type de "cas".

"Oui, la justice sera saisie de l'affaire !"

Plainte a été déposée par l'enseignante à l'Hôtel de police de Carpentras, où la mineure a été convoquée. Cependant, sous prétexte que ses parents ne disposent d'aucun moyen de locomotion, elle n'a pas honoré ce rendez-vous. D'où la crainte de la plaignante que l'affaire soit classée sans suite.

Qu'elle se rassure !.. Selon un policier, l'enfant va devoir se présenter prochainement avec sa famille à la gendarmerie de Beaumes-de-Venise, où elle réside. Elle devrait ensuite être assignée en justice pour répondre de ses actes.

La Provence