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« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. » Chamfort

samedi 19 mars 2016

Un important travail d'enquête depuis 2014 . Trois heures d'audience pour juger le Maire de Carpentras

On ne peut pas dire que cette affaire ait été bâclée: Un important travail d’enquête depuis 2014, trois heures d'audience! 

Et pourtant  le Maire Francis Adolphe considère que la condamnation est infondée donc par synonyme  injustifiée, abusive, illégitime aussi? Il la dénonce fermement et pense que le mensonge l'a emporté. Remettrait il en cause le travail des enquêteurs? Mettrait-il  en cause la justice de son pays?  C'est grave pour un élu  de la République!! 

Le jugement en appel apportera t'il d'autres réponses? Pourquoi dans la presse la victime n'est pas interviewée  ainsi que son avocat? Seuls les  propos des avocats et  de Mr Adolphe sont repris. N'y a t'il pas un parti pris évident? 

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"""Condamnation pour violences volontaires du maire socialiste de Carpentras

On ne sait pas si Manuel Valls, qui était venu aider son ami en difficulté lors des municipales, va lui adresser un message de sympathie.  

Francis Adolphe, maire socialiste de Carpentras (Vaucluse), a été déclaré coupable de violences volontaires sur son ex-compagne, mercredi 16 mars, par le tribunal correctionnel de Nîmes. Il a été condamné à deux mois de prison avec sursis et 1.500 euros d’amende, sans parler du versement d’une provision pour les intérêts civils et les frais de justice. 
On ne sait pas si Manuel Valls, qui était venu aider son ami en difficulté lors des élections municipales de 2014, va lui adresser un message de sympathie ou, mieux encore, une injonction dans laquelle il lui demandera de prendre ses responsabilités, comme il l’a fait pour Mgr Barbarin qui, lui, pour l’instant, n’a pas été mis en examen et encore moins condamné. La République, qui désormais dit à un évêque ce qu’il doit faire, peut, pour le moins, en faire autant pour un élu de ladite République…
Cette condamnation d’un élu, premier magistrat de sa ville, officier d’état civil et officier de police judiciaire, responsable de la concorde dans la cité, pose la question délicate des limites entre vie privée et vie publique. ""
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