OUVRIR LES YEUX

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. » Chamfort

mercredi 22 janvier 2014

HERVE DE LEPINAU REPOND A FRANCIS ADOLPHE

Et toc!! Le supposé Pinochio tacle Merlin l'enchanteur!

Effet boomerang, c'est le nez de Merlin qui s'allonge! 

 

"""""Sur le site de M. Adolphe, je suis représenté en Pinocchio, accusé de mentir sur les chiffres de son bilan. Je peux me tromper certes, comme tout le monde, et comme M. Adolphe d’ailleurs. En revanche, les chiffres ne mentent pas. Alors j’affirme que les impôts locaux ont augmenté à Carpentras de 25, 79% entre 2008 et 2012.

Vous avez internet, alors je vous invite à aller sur le site Alize2.finances.gouv.fr, site officiel du Ministère des Finances qui n’est pas spécialement à ma solde. Cliquez sur la rubrique « Compte de communes », puis « Carpentras », puis « fiscalité ». Vous voyez qu’en 2012 les impôts locaux (habitation + foncier + non bâti) étaient de 14, 387 millions d’euros à Carpentras.


 En 2008, ces mêmes impôts étaient de 11, 5 millions d’euros. 14, 387 – 11,5 = 2, 87 millions d’euros d’impôt locaux en plus en 6 ans à Carpentras, soit une augmentation de 25, 79%, vous en serez d’accord si vous faites la règle de 3. En comparaison, durant la même période, l’inflation n’a été que de 5, 9%.

Mon dernier tract mentionnait une augmentation de 26% : nous nous sommes donc légèrement trompés, pardonnez-nous. Mais nous n’avons pas menti. Les chiffres comme les faits, vous le voyez, sont têtus.


Alors Pinocchio dit à Merlin l’Enchanteur, un peu moins de poudre aux yeux et revenez au monde réel, comme devraient le faire vos amis socialistes du gouvernement, les fameux Rapetou.

Hervé de Lépinau""""

1 commentaire:

Anonyme a dit…

INFORMER le « magicien menteur » MERLIN L’ENCHENTEUR que la nouvelle équipe municipale fera appelle aux services de la CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES-PACA en lui indiquant les pouvoirs et différents champs d’investigation de la dite CHAMBRE à savoir :


Le contrôle juridictionnel vérifie que les comptables publics ont correctement exercé leurs diligences
en matière de recouvrement des recettes et de contrôle de l’exécution des dépenses. Il s’assure
du respect du principe de séparation des ordonnateurs et des comptables

Le contrôle budgétaire
Le contrôle budgétaire permet à la chambre d’apporter son expertise dans les situations de
Dysfonctionnements décrites par le code des collectivités territoriales. Les collectivités susceptibles
de donner lieu à un contrôle budgétaire de la chambre ne sont soumises à aucune condition de taille
ou de seuil financier. De fait, de nombreuses petites collectivités font l’objet chaque année de
saisines du préfet, par exemple pour budget non voté.
Le contrôle budgétaire a lieu lorsque :
Le budget ou le compte administratif n’a pas été voté dans les délais ;
Le budget a été voté en déséquilibre ou le compte administratif présent un déficit excessif ;
Une dépense obligatoire n’a pas été inscrite au budget ou inscrite pour un montant insuffisant.
L’examen de la gestion
L’examen de la gestion apprécie la régularité, l’efficience et l’efficacité de la gestion des entités
contradictoire approfondie, et débouche sur des recommandations concrètes. Les rapports
d’observations de la chambre, une fois présentés à l’assemblée
Le déroulement d’un contrôle

La programmation des travaux
Chaque chambre établit un programme annuel détaillé qui s’inscrit dans le cadre d’une
programmation pluriannuelle. Les organismes contrôlés sont choisis en fonction de l’enjeu financier
qu’ils représentent d’une part, et des thèmes de contrôle auxquels la chambre a souhaité participer
ou qu’elle a choisis, d’autre part. Les contrôles programmés sont ensuite répartis entre les magistrats
de la chambre.
L’instruction
un plan de contrôle. Certains de ces axes sont incontournables : les suites données au contrôle
précédent, l’analyse de la situation financière, la fiabilité des comptes.

Pour garantir la qualité de ses
investigations, le contrôleur s’appuie sur les outils d’aide au contrôle élaborés au sein des juridictions
financières. À l’issue de l’instruction, le magistrat établit un rapport assorti de propositions
d’observations (examen de la gestion) ou de charges (contrôle juridictionnel), étayé de pièces
produites à son appui. Ce rapport est confidentiel.


Le délibéré
Une formation collégiale, de chambre ou de section, composée de magistrats.
La contradiction
Le rapport définitif
À la suite de cette phase de contradiction, la formation collégiale délibère sur un nouveau
rapport de propositions définitives, qui est adressé à l’ordonnateur et éventuellement à son ou ses
prédécesseurs. Ils disposent d’un délai d’un mois pour adresser à la chambre une réponse.