OUVRIR LES YEUX

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. » Chamfort

vendredi 13 mars 2015

Gilbert Collard venu soutenir à Aubignan la liste FN Hervé de Lépinau et Marie Thomas

Une nombreuse assistance  à Aubignan  venue écouter le discours de  Gilbert Collard à Aubignan Vaucluse  dont les grandes lignes se retrouvent çi -après 

 Gilbert Collard, Député du Gard, Secrétaire général du Rassemblement Bleu Marine
Ce n’est pas en gueulant sur nous, que vous aurez belle gueule !
Il est rare qu’un philosophe traite un premier ministre, dernier de la classe, de crétin !
Et pourtant Michel Onfray a posé officiellement le bonnet d’âne sur la petite tête convulsive de l’imprécateur rugissant, Manuel Valls, qui le mérite bien. Il incarne, aujourd’hui, quelque chose de pire que la crétinerie, une outrecuidance dans la violence verbale contre le Front qui confine à la dystonie, qui discrimine des électeurs ayant pourtant un droit démocratique au respect. Quand on le voit à l’Assemblée, de son petit porte-voix crispé de marché aux volailles, s’égosiller pour hurler : « qu’il stigmatisera le Front national jusqu’au bout », on s’étonne que le roi de l’anti-stigmatisation prône une haine qu’il feint de dénoncer quand il s’agit des autres, notamment les musulmans ! Finalement, il ne faut stigmatiser personne,  sauf les électeurs de Marine Le Pen ! C’est l’aveu vomi du mépris le plus hystérique du suffrage qui décide dans les urnes. De quel droit, lui qui n’est rien, sinon un premier ministre de la propagande électorale du PS, payée par le contribuable, s’autorise-t-il, au nom de ses cordes vocales contractées, de sa trouille des urnes, à s’arroger le titre de souverain dispensateur des brevets de républicanisme, au point de postillonner jusqu’à inonder ses ministres, vers Marion Marechal Le Pen : « Vous n’êtes ni la République ni la France ! » ? Les voix qui nous ont portés au parlement ne sont ni républicaines ni françaises ? Les électeurs qui voteront pour nous ne sont pas la France ? Il y aurait donc deux France, celle des Français qui votent pour « le tract ambulant » et le « déchet », et celle honnie, bannie, l’anti France, comme disait les collabos, qui perd sa nationalité en votant pour le Front national !
Cet homme est une haine !
Comme donneur de leçons, avant lui, on avait Cahuzac, les fouilles bourrées de valeurs républicaines et de comptes en suisse et ailleurs, Jean Marc Ayrault, condamné à 6 mois de prison avec sursis, Harlem Désir, condamné à 18 mois de prison avec sursis, Jean Noel Guerini, Sylvie Andrieux, Jean Christophe Cambadelis, condamné pour l’affaire de la MNEF, lui aussi un chantre chanteux des valeurs républicaines, j’en trépasse et des meilleurs… Quel culot ! Et il ose donner des leçons sous le regard d’un Thevenoud, Thomas, incrédule, et connaisseur en fausses valeurs républicaines. Tous, toujours prêts, scouts, à faire la morale, à être plus républicains que la République, plus honnêtes que l’honnêteté, plus patriotes que la Patrie, plus français que la France, plus résistants que Jean Moulin, plus probes que la probité,  plus tartufes que Tartufe !
Même en Pologne, à Gdansk, Valls la vodka de la France, oppose les valeurs de Solidarnosc à l’extrême droite, en vrai monomaniaque, pendu à son idée fixe, toujours aux frais du contribuable. Franchement, je m’inquiète pour sa santé et pour la nôtre ! Un bulletin sur l’état du premier ministre devient une nécessité prophylactique. Une telle obsession inquiéterait  même la Salpêtrière ! On raconte, mais est-ce vrai, qu’il n’embrasse plus personne sur le Front par crainte d’une contagion ? Que chez lui, le soir, il ouvre les placards pour vérifier que le Front ne s’y cache pas. Il aurait même du mal à dormir ; il entend des bruits ; perçoit des déplacements d’objets ; fait des cauchemars où le capitaine Fracasse casse la vaisselle du troisième Reich et préside un gouvernement fantôme. Sa femme, une violoniste, pour l’endormir jouerait au violon le clown Titi ; elle n’ose jouer, « ainsi font font les marionnettes », il entendrait ainsi front, front, front… Le pauvre ! Il aurait peur !
D’où leur vient aux socialistes, ce complexe d’infériorité ? Ce besoin névrotique, hypnotique, d’insulter, de vilipender, de donner des leçons ? De consacrer toute leur énergie d’espions à fabriquer des dénonciations « démocratiques » autour des élus frontistes, plus surveillés qu’une bouteille d’alcool au temps de la prohibition, sans même se rendre compte qu’ils auront réussi à installer une suspicion généralisée, digne des pires régimes totalitaires ? De monter des coups de menton menteur avec l’écho d’une presse de gauche ? Tout cela est scénarisé, orchestré, c’est la chasse, la traque à l’occasion qui fait l’annonce médiatique. Un journaliste, Jean Quatremer, fervent défenseur de la liberté d’expression, correspondant à Bruxelles pour Libération, un beau nom mal porté, veut même établir un « cordon sanitaire » autour du premier parti de France !
Il faut aimer la France pour être candidat frontiste, tant le prix à payer est cher en réputation, tranquillité et honneur bafoué.
L’inconscient coupable les taraude, nos socialistes. Ils savent ! Ils savent, eux qui rabâchent le respect des valeurs républicaines, qu’ils portent l’héritage d’un vote, celui qui donna les pleins pouvoirs à Pétain ! Que Laval fut un des leurs ! Que Doriot fut communiste ! Que Gaston Bergery, membre du parti radical, qui écrivait en 1936 : « Le racisme et l’antisémitisme sont contraires à l’idée de la Nation », vota les pleins pouvoirs, et finit ambassadeur du maréchal ! Que Georges Bonnet, député radical socialiste, qui pleurait : « la France doit donner l’hospitalité à tous ceux dont la vie est menacée », approuva la rencontre de Pétain à Montoire avec Hitler ! Que Gratien Candace, député de gauche de la Guadeloupe, qui s’écriait : « le racisme est la plus grande honte politique », entra dans le Conseil national de Vichy ! Et ainsi de suite… Et que François Mitterrand accrocha pour toujours la francisque au drapeau socialiste ! Alors, alors, vos gueules les mouettes républicaines… Si les fantômes des vieilles crapules hantent vos nuits, prenez des somnifères, faites une thérapie, de la chirurgie esthétique historique, un exorcisme avec Bousquet en bréviaire, mais cessez de croire qu’en gueulant sur nous vous aurez belle gueule !

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