Jusqu'à 20h15 mardi, la séance du Conseil municipal s'est déroulée dans un climat plutôt serein. Il y eut, certes, quelques escarmouches, quelques piques, quelques traits d'humour parfois acides, mais rien de bien méchant.
Ainsi, lorsque le frontiste Hervé De Lépinau, élu à l'Hôtel du Département dimanche, ironise sur le porte à porte intensif de son rival malheureux lors de la campagne électorale, en lui demandant s'il en a profité pour effectuer un recensement, Francis Adolphe ébauche un sourire. Sourire encore, du frontiste cette fois, lorsque l'UMP Julien Aubert lui rappelle haut et fort son titre de "conseiller départemental". Et carrément des rires quand le maire, alors que ses deux opposants UMP viennent de s'abstenir sur une question, charrie, "C'est le ni-ni".
Source la Provence....un article qui relate bien l'ambiance
Source la Provence....un article qui relate bien l'ambiance
... Et la révolte des frontistes
"Qu'entendez-vous par républicains" demande Hervé de Lépinau "Des élus qui, contrairement à vous ne sont pas des extrêmes. Vous êtes un élu d'extrême droite" lui réplique le maire. "L'extrême droite a t-elle été déclarée anticonstitutionnelle et anti-républicaine ?" insiste le chef de file frontiste. Son colistier Julien Langard monte lui aussi au créneau : "De quel droit vous arrogez-vous le droit de dire qui est dans la République et qui n'y est pas ? ! Je suis extrêmement choqué."
"Extrêmement... C'est normal", rebondit le premier magistrat, saisissant l'adverbe au vol. "Je n'ai pas dit que vous n'étiez pas de la République, mais que vous n'étiez pas républicains".
1 commentaire:
Bonjour sous un ciel "gris"!!
Le maire de Carpentras fait parti de la Gaucherie!!Celle qui écrit "papa avec 3 p !!).
Cette gaucherie a fait de l’immigration incontrôlée et de la vénération des immigrés l’alpha et l’oméga de la politique française, du moins le critère absolu du positionnement soi-disant de « gauche ». Pour être Français, il faudrait, selon elle, n’avoir à l’esprit que les intérêts des étrangers et bafouer la France jusqu’à sa destruction totale
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