OUVRIR LES YEUX

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. » Chamfort

samedi 1 mars 2014

Carpentras : Tombe le Masque !!! La lettre "ouverte " de Laurence Bosserai


 Cette lettre"ouverte" et d'autres circulent à Carpentras et  sur les réseaux sociaux .

 La révolte des Maires-Ajointes socialistes  est en marche ....un certain courage respectable que  Francis Adolphe  rabaisse à des propos de caniveau.
 Ces femmes là  veulent que cela se sache et préviennent la population:
 Francis Adolphe ne doit pas être Maire de Carpentras,  vous ne pourrez pas dire que vous ne le saviez pas!.  

D'autres  trépignent à l'idée de rejoindre l’équipe de Francis Adolphe..c'est comme ça en politique, c'est l'effet vague..ceux qui ne sont pas contents s'en vont, d'autres arrivent , succombent au charme de celui qui détient le pouvoir, font un petit tour et puis s'en vont!



 Francis Adolphe  veut maintenant se faire passer pour une victime, parle d'attaques de caniveau, de complot .  
Se sentirait-il persécuté? Il voudrait se sentir aimé..quand même! LUI, l' initiateur des rocades,  de l'arrivée du train, du fil optique! ....le François 1er de la Renaissance de Carpentras...Lui qui avait voulu éblouir la galerie..avec son mirifique Musée Bernard BUFFET....maintenant c'est une école d'Art  Visuel....poudre aux yeux comme d'habitude!

 A la Mairie, c'est une folle ambiance... de fin de régne!   Il veut garder son fauteuil de Maire!.




"""Francis,

Parmi tes élus, c’est la fidèle d’entre les fidèles qui t’écrit aujourd’hui, celle qui a cru en toi, plus que quiconque, et qui t’a soutenu de manière inconditionnelle. Cette Mairie a été une expérience merveilleuse, ça a été un immense honneur d’être élus par nos concitoyens et j’ai essayé d’y répondre le mieux possible, en faisant de notre action municipale ma priorité numéro un, négligeant tout le reste.. Je l’ai fait au nom des valeurs qui étaient les miennes, mais il est évident qu’au fil des années, et surtout pendant les deux dernières, ces valeurs ont été de moins en moins partagées par toi. Je t’ai vu glisser subtilement vers de plus en plus de compromissions, chaque fois au nom du « pragmatisme » politique, m’assurant que c’était uniquement pour gagner les élections face à nos ennemis. Pendant les deux dernières années, quand je t’ai vu dériver peu à peu dans tes convictions, chaque fois je t’ai trouvé des excuses, le travail, la pression, pour éviter de reconnaître que tu te reniais de plus en plus. Ton attitude ces derniers temps a fait tomber le masque. Je suis consternée quand je vois ce que notre équipe est devenue au fil du mandat : nous étions 25 au départ, pleins d’enthousiasme. Aujourd’hui il n’en reste qu’une dizaine, que tu charges de fliquer les sortants à chaque manifestation pour être sûr qu’aucune parole dissidente ne viendra gâcher le tableau. Quelle triste fin … A chaque fois, tu as divisé pour mieux régner et cela t’a certes permis de neutraliser un ou des élus ciblés. Mais c’est une victoire à la Pyrrhus, car tu laisses derrière toi une équipe en lambeaux, où les élus se méfient les uns des autres. Es-tu le rassembleur que tu disais être ?  Mon éloignement de la Mairie ces deux derniers mois a libéré la parole autour de moi et on me confie maintenant des informations sur les pressions que tu exerces ou que tu as exercées pour parvenir chaque fois à tes fins. Le tableau n’est pas brillant et j’ai malheureusement découvert que tu pouvais mentir et trahir sans le moindre scrupule, avec une désinvolture incroyable. J’étais décidée à m’effacer complètement pendant cette période, afin de ne pas troubler les débats. Mais il y a un élément, qui m’implique personnellement, que je  refuse d’occulter encore, parce que les conséquences ont été trop graves et il s’agit de mon attitude dans l’affaire Faryssy.
J’ai eu du mal à franchir le pas parce qu’il est toujours douloureux de se rebeller contre les siens. Sais-tu ce qui m’a décidée ? Ta malhonnêteté lors du débat télévisé, quand tu as montré le classement sans suite du procureur, l’air satisfait, alors que tu l’as obtenu en réduisant tout le premier étage au silence et en nous demandant à tous de mentir pour te couvrir.
Tu as terminé ton intervention sur le sujet en lançant à Farid, un peu hors micro, « Il faut croire en la justice, Monsieur Faryssy ! ».  Et tu vois, cela a été pour moi la phrase de trop, celle qui prouvait tout ton cynisme.  C’est une justice que tu as contournée, en manipulant élus et personnel municipal. Tu as été condamné par cette même justice pour coups et blessures sur ton ex femme en début de mandat : et toi, crois-tu en la justice quand elle te concerne ?
Pour justifier le nécessaire renvoi de Farid, tu m’as dressé un tableau terrifiant. Pour me convaincre de l’éliminer avec perte et fracas de la Mairie, il fallait du lourd. Te souviens-tu des arguments de l’époque ? Farid, tu venais de le découvrir, était impliqué dans un trafic de drogue, avec ses contacts dans la cité dont il était issu et les délinquants qui étaient ses clients. Il préparait des opérations immobilières malhonnêtes que tu essayais de bloquer. La police menait des enquêtes à son sujet et sa mise en examen était imminente, ce n’était qu’une question de semaines, voire de jours. Il a racheté une deuxième maison avant d’avoir vendu la première, il s’en fait construire une troisième au Maroc, il vient de s’acheter un super 4x4, avec un seul salaire de 2000 € à la mairie et un cabinet qui ne tourne plus, comment crois-tu qu’il peut faire, Laurence ? Seuls ses revenus illicites lui permettaient de mener grand train. C’est quand je l’ai mis au pied du mur qu’il m’a regardé avec un sourire narquois et que j’ai pété un câble, je me suis jeté sur lui, car il nous mettait tous en danger. Et je t’ai cru, Francis. Et je t’ai couvert, comme les autres, à qui tu as demandé le même service, au nom de la protection de la Mairie. Parce que j’aimais passionnément cette Mairie et que l’intégrité et l’exemplarité de l’élu sont pour moi des dogmes absolus, auxquels on ne déroge sous aucun prétexte, une véritable obsession pour moi, tu le sais bien et tu avais bien choisi tes arguments. Il fallait t’aider à évacuer celui qui allait jeter l’opprobre et le scandale sur nous tous et discréditer notre action politique. Bien sûr que je l’ai fait, tu as agité le chiffon rouge et j’ai foncé. L’affaire paraissait certes énorme, mais il me paraissait bien plus énorme encore que tu me mentes et que tu me manipules, toi, mon mentor, mon meilleur ami, mon frère. On a viré Farid et il a disparu de nos vies, je n’ai plus jamais pensé à lui. Jusqu’à la mi-janvier de cette année, où une conversation avec un ami à moi, une connaissance de Farid, m’a appris qu’il se débattait encore aujourd’hui dans de grandes difficultés financières. Et l’affaire a refait surface, brutalement : comment pouvait-il ne pas s’en sortir, avec tout l’argent de ses trafics ? Et la fameuse arrestation imminente, qu’était-elle devenue ? Rien. Curieusement, après le classement sans suite du procureur, tout cela a fondu comme neige au soleil. J’ai repensé à tout cela et j’ai eu honte de ce que j’avais fait. J’ignore si cette lettre pourra porter quelque réparation, il est sans doute trop tard, mais je ne me tairai pas une seconde fois.
Chaque fois, tu évoques la protection du Maire, mais c’est en fait la protection de ta personne que tu demandes, quitte à utiliser les gens qui croient en toi. Un mois après Farid, c’est moi qui ai dû retirer une plainte gênante pour toi et en subir les conséquences, heureusement dérisoires au regard de ce qu’ont vécu d’autres personnes. Ton fonctionnement ne marche que parce que chaque élu croit qu’il s’agit d’une circonstance isolée et qu’il agit pour le bien de tous. Sauf que tu n’es pas au dessus de la mêlée, mais au dessus de nous, à manœuvrer les fils. Et c’est toujours le même schéma : tu demandes à un élu d’agir ou de répondre à ta place, pour ne pas être en première ligne. Et on organise une rescousse « spontanée » qui te permet de rester en retrait. Avant on utilisait cette technique contre l’opposition. Maintenant c’est la même technique que tu utilises contre ton propre camp. Ces deniers temps, je lisais Angelo chargé de répondre à Carole quand elle s’insurge contre l’expression « cette pute de carole » que tu utilises à son encontre. Très habile, comme d’habitude : Angelo est un gars sympa sur qui personne n’a envie de taper. Et tu as obtenu ce que tu voulais, en deux mails, l’affaire a été réglée. Maintenant, ton entourage va devoir prouver sa loyauté en me démolissant. Tu vas leur demander de me discréditer, de me salir, au nom de la protection de la mairie, une fois de plus,  car je deviens l’ennemi à abattre : qu’ils le fassent. J’attends de voir qui sera le porte flingue chargé de me descendre. Peut-être une action collective : l’effet de groupe aidant, on se sent chacun un peu moins responsable. A moins d’utiliser la calomnie, la tâche s’annonce ardue. Que va-t’on me reprocher ? Le travail ? Je me suis épuisée pendant 6 ans, par amour pour cette mairie, avec un service énorme et délicat, en cumulant 2 boulots et  une gamine de 2 ans que j’élevais seule. La loyauté ? J’ai été d’une loyauté sans faille, dans les bons et les mauvais moments, aussi bien sur le plan politique que personnel. L’intégrité ? Elle est connue de tous, on ne peut me reprocher le moindre intérêt personnel, la moindre compromission financière. Pendant 6 ans, j’ai payé de ma poche toutes mes fournitures pour ne rien coûter, je n’ai jamais demandé la moindre formation, le moindre remboursement de frais, même pour aller représenter la Mairie en Italie, achetant sur mes deniers les cadeaux aux officiels. Epargne-moi en tout cas le prêchi-prêcha paternaliste (ma petite laurence, tu me déçois beaucoup, quel comportement indigne et irresponsable etc …) et le chantage affectif (c’est un homme au cœur brisé qui te parle) : tu me l’as servi à chacune de nos ruptures pendant 4 ans et là aussi, le refrain a fait long feu..Evite la tentation de me faire passer pour la pauvre fille dépitée par un chagrin d’amour : je serais obligée de sortir notre correspondance intime pour montrer qui suppliait qui de le reprendre et tu serais ridicule. Il ne te reste plus qu’à me dépeindre en élue évincée et aigrie, boursouflée d’amertume. Quel manque de chance ! Après ma colère du premier soir, en constatant ta lâcheté et la pauvreté des arguments pour me virer, j’ai ressenti dès le lendemain un immense soulagement. La situation grotesque des derniers mois prenait fin et cela a été une véritable délivrance. J’éprouvais par contre un véritable déchirement à l’idée de quitter les personnes de mon service, la seule raison en fait que j’avais de continuer cette vie de fou , mais là aussi elles ont été merveilleuses et je me suis rendue compte que les liens d’estime et d’amitié que j’ai tissés avec elles ne disparaitront pas avec la fin de mon mandat. Après 6 années où je n’ai vécu que pour cette Mairie, j’ai enfin retrouvé une vie de femme et de mère, épanouie comme je ne l’étais plus depuis longtemps. Je me suis également réinvestie complètement dans mon métier, et je suis redevenue la prof  rigoureuse que j’étais avant l’élection.  Je me sens enfin d’équerre, parce que j’adorais la Mairie mais je n’avais plus confiance en toi. Je ne croyais plus en notre chef. Tu descendais en flèche tous tes élus, à part Serge, et surtout les fonctionnaires ou les simples salariés, « qui ont un salaire qui tombe tout cuit à la fin du mois », ces puceaux de la vie, pour reprendre ton expression. Cela nous a valu des disputes féroces. Tu te flattais de connaître tous leurs secrets et  ceux qui travaillent encore pour ta réélection seraient sidérés d’apprendre ce que tu penses vraiment d’eux. En tant que compagne, j’ai mis un point d’honneur à séparer mes rôles et je n’en ai rien dit. Rassure-toi, je vais continuer, pas pour t’épargner, mais par respect pour eux, qui sont pour la plupart des gens bien, qui ne méritaient pas le dixième de ton mépris.
J’ai surtout assisté à ta métamorphose : tu es devenu un politique, un vrai de vrai. Aujourd’hui, tu es la caricature de ces politiques dont tu te gaussais au début de ton mandat : tu réponds, tel un automate, avec des phrases toutes faites, tirées d’un argumentaire préparé, avec des réflexes quasi pavloviens, quel que soit ton interlocuteur, affirmant tout et son contraire, sans complexe. Mais plus grave encore, tu as érigé le cynisme en preuve d’intelligence et de pragmatisme. Je ne te reconnais plus, Francis et je me demande où est passé l’homme que j’admirais en 2008. Il ya 6 ans, j’ai connu un homme sincère et enthousiaste, qui m’a donné envie de faire de la politique, parce que, nous, nous étions honnêtes, nous, nous étions différents. J’ai découvert ces dernières années que tu n’étais pas en cohérence avec les valeurs de gauche que tu prônais. A l’époque, j’aurais donné mes deux mains à couper si on avait mis en doute ton intégrité. Aujourd’hui, mes deux mains je les garde prudemment dans mes poches parce que j’en ai besoin pour travailler. Je ne te souhaite pas bonne chance pour les élections, comme tu l’as compris tu n’auras pas mes suffrages …. Quel que soit le candidat élu, je sais que je n’aurai de toute façon aucune valeur commune  avec lui.  La seule différence, c’est que pour les autres, je le savais déjà. Le découvrir pour toi aura été pour moi une déception humaine sans nom.
Laurence"""

8 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour
Juste un petit article à lire par cette belle matinée!!
Pourquoi les Français sont "en colère" : le rapport secret des préfets
Un rapport confidentiel montre les racines d'une exaspération qui peine à s'exprimer, mais qui menace de tout emporter dans les urnes.
C'est une note de quatre pages, classée "confidentiel" et rédigée par le ministère de l'Intérieur. Chaque mois, les services de Manuel Valls, sur la foi des rapports que leur adressent les préfets, rédigent une "synthèse", qui est une manière de plonger dans les méandres de l'opinion publique.
La France gronde, les Français sont en "colère. Dans la synthèse des préfets, il ne figure pas de façon explicite. Des exemples : Chez les petits élus, tout fait désormais sens : les restructurations liées au vote de la loi de programmation militaire aussi bien que la réforme Peillon des rythmes scolaires. Le sentiment qui domine est "un sentiment d'abandon".
Inquiets du discours antifiscal qui pourrait favoriser les extrêmes, écrivent-ils, les élus considèrent que les limites du consentement à l'impôt.
La hausse de la fiscalité devient un élément anxiogène de plus."
C’est le cas à Carpentras - dans ce contexte, "les élus confient avoir constaté la radicalisation des propos de leurs administrés qui fustigent 'un matraquage fiscal' et 'une hausse insupportable d'impôts qui financent un système trop généreux'." Et les préfets de conclure : "La menace de désobéissance fiscale est clairement brandie."
C'est ce qui explique, au bout du compte, un climat insaisissable fait d'aigreurs accumulées, sur fond de ressentiment à l'égard de ce qui vient d'en haut, du pouvoir parisien, de ceux qui gouvernent l’Etat.
Sentiment d'abandon des zones rurales, ras-le-bol fiscal, augmentation de la petite délinquance, détresse du monde artisanal :
Aujourd'hui, on en est là. Les sondages le disent. Les préfets le confirment. Les plus expérimentés des élus de gauche confient, la peur au ventre, que cette situation leur rappelle celle qui prédominait avant leur déroute des législatives de 1993. "Les gens se taisent. Bien sûr, sur les marchés, les sympathisants viennent râler et distribuer des tracts, mais tous les autres ont un visage fermé. Mais c’est même visages fermés qui forment la « Majorité silencieuse » qui aux prochaines élections Municipales et Européennes fera changer radicalement le « SYSTHEME ».
L'abstention, voilà l'ennemi de la Gauche et de l’UMP/UDI/MDEM et du Front de GAUCHE et de l’ensembles des Associations de « Gauche » y compris les Syndicats !. C’est elle qui fait trembler les candidats de l'actuelle majorité, à l'approche des municipales. Avec, en toile de fond, une attention croissante à un nouveau discours « Patriote », perçu comme la dernière manifestation possible de ce refus du "système" qui fait désormais florès !
C'est peu et beaucoup à la fois. C'est un peu tard surtout pour espérer que le courant qui enfle, dans les profondeurs du pays, puisse être freiné dans les mois à venir. En 2014, immanquablement, tombera la facture. Pour Hollande, comme pour la droite républicaine, il n'y a guère de raison de penser qu'à la colère qui gronde, ne succédera pas, demain, une de ces sanctions dont on ne pourra pas dire qu'elle est venue par surprise.

Anonyme a dit…

Bonjour
Bonjour,
Le maire sortant de Carpentras est-il un MENTEUR ? OUI et un très Gros ? MADAME Carole HADJ-MADHI –est-elle une MENTEUSE-OUI - elle est restée 6ans à la gamelle sans rien dire !!Mme BOSSERAIS est-elle une MENTEUSE-OUI-elle aussi est restée à la Gamelle 6ans sans rien dire !!!
LA SEULE QUI A DIT LA VERITE C’EST « L’EX FEMME » DE FRANCIS ADOLPHE QUI ELLE PRENAIT DES « ROUSTES » PAR SON FRANCIS BIEN AIME…PENDANT QUE LUI FAISAIT LA FETE AVEC CAROLE ET LAURENCE……………
Bonne journée

Anonyme a dit…

Allez voir le compte Wikipedia d'Adolphe !

Anonyme a dit…

Bonjour
Cela vaut pour CARPENTRAS!!!

"Tous ces maires jouent un rôle beaucoup plus néfaste qu'il n'y paraît de relais de l'idéologie mortifère qui gouverne dans notre pays" tout en "cachant la misère du pays". Dès lors, "chaque voix donnée à l'un de ces sortants socialistes, c'est une voix donnée à François Hollande, c'est un quitus donné à un gouvernement qui mériterait exactement l'inverse", a-t-elle prévenu. Et de demander "une bonne déroute électorale, un avertissement" adressé au pouvoir socialiste.

"Il faut les sanctionner durement, très durement, sans aucune forme d'hésitation, pour passer un double message: nous n'en pouvons plus de votre gestion désastreuse des villes, nous n'en pouvons plus de François Hollande, et nous souhaitons exprimer notre souhait de changement", a encore déclaré Marine Le Pen

Anonyme a dit…

Et y aurait encore plus de colère s’il y avait davantage de journalistes comme ces deux journalistes qui osent poser des questions essentielles et gênantes dans les vidéos ci-dessous. Il y aurait encore plus de colère si ces informations étaient davantage diffuser.

Scandale au Parlement Européen : Argent facile, champagne à gogo et autres privilèges.
http://www.youtube.com/watch?v=YpyybLSSTCk

Martin Schulz, Président du Parlement européen, interviewed in PowNews. Vers 11:34 au compteur de la vidéo, le journaliste lui demande « Vous voulez le djihad en Europe ? » Martin Schulz se lève et s’en va. Le journaliste insiste. « Vous voulez le djihad en Europe ? »
http://www.youtube.com/watch?v=qbK8JdE68Oc
Bon W-E.......

Anonyme a dit…

Bonjour
Je vous propose une "petite "réflexion matinale au petit-déj!!!
C’est vrai qu’il y a ramollissement de notre civilisation occidentale…

Toutefois, on ne peut pas en dire autant des tribus indiennes qui se sont vues envahir par les colons en Amérique !! Ils étaient vaillants tous ces Amérindiens !! Leur tort a été d’être mal informés, d’avoir cru aux mensonges des colons (400 traités signés entre eux en 1 siècle et demi et tous ont été bafoués par les colons), de ne s’être pas réunis pour former une seule force qui aurait pu bouter les premiers colons arrivés sur leurs terres, ou du moins, les Indiens auraient pu imposer leur volonté….

Les Amérindiens n’ont pas bougé et ont fait confiance. Ils n’ont réagi que lorsque les colons ont attaqué leurs propres tribus, ont voulu les réduire en esclavage, les ont massacrées… mais il était trop tard, les Appalaches étaient conquis, les Grandes Plaines étaient en cours de conquête, et ceux qui restaient dans les Rocheuses n’étaient plus assez nombreux.

C’est ce qui nous guette : nos vendus politiques ont fait confiance aux pays arabes, n’ont pas réagi lorsque les immigrés n’étaient pas encore nombreux, et maintenant ils signent des traités qui seront tous bafoués.

Anonyme a dit…

Bonjour
Toujours dans la réflexion du W-E..
La France a toujours été un pays d’accueil pour tous les frontaliers, que ce soit du Nord, de l’Est, du Sud (Espagne, Portugal) et de l’Ouest (Irlande, Ecosse et Angleterre). Chaque immigration fut porteuse d’enrichissement, à plus ou moins long terme. Chaque génération a pu s’adapter, en serrant les dents pour certaines populations, en supportant les « ritals », « espingouin », « Yougo », « portos », « les Pieds- noir »de Tunisie, du Maroc et d’Algérie ! Mais tous ont saisi leur chance par la méritocratie. Aujourd’hui, ces ex-immigrants ont gravé, avec leur talent, les traces de leur passage et nous a fait découvrir leurs histoires, leurs pays et ce dès les années 60 pour Carpentras.
Pourquoi cette immigration a-t-elle réussi ? Elle était « catholique » ? Elle était « blanche » ? Le point commun même avec l’immigration Asiatique c’est qu’aucune, n’était « aliénée » par une idéologie mortifère et barbare. Tous avaient conservé leur libre arbitre. Tous pouvaient s’adapter et répondre à leurs aspirations et leurs besoins. Tous ont su apprécier ce que la France a pu leur offrir (école, accès aux soins, aux métiers diplômant, la mixité culturelle et matrimoniale).
En retour, ils nous ont offert leur différence, non pas en tant que « communauté » mais par la différence que chaque individu peut offrir avec ses spécificités qui rend l’Homme unique.
L’immigration venant des Berbères du Maghreb, de l’Afrique Subsaharienne, Arabe et Afrique Noir, a pourtant des spécificités culturelles, des différences, alors qu’est-ce qui ne passe pas auprès des autochtones Français ? Pourquoi, les Autochtones Français, dont les immigrants d’antan naturalisés, vivent-ils aussi cette immigration comme une invasion, une conquête de territoire et en résumé comme une guerre d’occupation culturelle et Cultuelle ? Comment ces Français sont-ils passés du statut d’accueillant à méfiant puis Résistant ?
D’exprimer autre chose que »l’islam est tout, en dehors de l’islam, tout est perversion et doit-être fui et détruit ! »
Avant cette immigration musulmane, l’Autochtone Français pouvait apprécier, échanger et partager avec chaque homme et femme grâce à un tronc commun : la liberté du comportement.
Or cette immigration musulmane n’offre qu’un comportement monolithique qui ne repose que sur le mysticisme d’un « criminel » selon nos codes actuels, l’islam. Chaque immigré musulman se comporte de la même manière : musulmane…
Chaque immigré réclame le même droit : vivre en musulman.
Les hommes et les femmes éduquent leurs enfants de la même manière : musulmane
Les hommes et les femmes revendiquent leur mode de vie : islamique
Les hommes et les femmes démontrent leur attachement à l’islam : circoncision de chaque enfant (sacrifice partiel humain)
Les hommes et les femmes démontrent leur indicible volonté commune d’être « stigmatisé » musulman : prénom islamique donné à leurs enfants, vêtement spécifique aux femmes, aux hommes, nourriture, gestuelles et rites prosélytiques contraire aux principes des lois Françaises, refus de la moindre miette culturelle du pays d’accueil.
Chacun des hommes et femmes, présents en France, qui ne jurent que par l’islam, ne désire qu’une chose : créer, dans notre pays, des us et coutumes qui se résument à… l’islam !
Voilà comment les Français sont devenus des résistants à cette invasion.
Mais cette résistance, pour être efficace contre cette aliénation mentale islamique, doit opposer une Résistance Républicaine.
La Résistance est Républicaine et son ciment en est la Laïcité !

Anonyme a dit…

Adolphe ne respecte rien ni personne, il agresse , ment et demande aux élus de mentir!!

Es t on dans une République Bananière ?