OUVRIR LES YEUX

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. » Chamfort

vendredi 7 mars 2014

Permettre l’élection du socialiste Francis Adolphe c'est approuver la politique socialiste du gouvernement.

 Les élections municipales 2014  , c'est aussi  un enjeu national! 
 La possibilité d'envoyer un signal fort au Président Hollande. 
Permettre l’élection de  Francis Adolphe c'est approuver la politique socialiste du gouvernement.

La France est, avec la Slovénie, le seul pays de la zone euro a être placé sous cette procédure de surveillance renforcée..

Déficit,compétitivité : l’ultime coup de semonce de Bruxelles à la France



FRANCE 

La Commission place les finances publiques sous surveillance renforcée, craignant un nouveau dérapage. Elle émet des doutes sur le pacte de responsabilité.

La Commission européenne a placé la France sous surveillance renforcée. - AFP
La Commission européenne a placé la France sous surveillance renforcée. - AFP
Bruxelles accentue encore la pression sur la France.
La Commission européenne a non seulement pointé du doigt, mercredi, la perte de compétitivité des entreprises tricolores, mais s’est aussi vivement inquiétée du dérapage des comptes publics.
 Utilisant un nouvel instrument à sa disposition, elle a adopté une recommandation spécifique à la France pour attirer son attention « sur le risque de non respect de l’objectif budgétaire recommandé ». La France est, avec la Slovénie, le seul pays de la zone euro a être placé sous cette procédure de surveillance renforcée...
C’est clairement un message politique que Bruxelles a envoyé mercredi aux autorités françaises. Normalement, la communication de la Commission aurait dû se limiter aux grands problèmes macro-économiques. Mais celle-ci en a profité pour taper sur les doigts de la France sur la question des déficits. « Il s’agit de dire de façon amicale à la France qu’elle doit agir, et vite. En juin, il sera trop tard », indique une source européenne.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bonjour
Ne pas tenir ses promesses est un classique politique. Mais faire l’inverse sur tous les sujets expose à de graves secousses !

On sait depuis Saint-Simon que les plus grands menteurs sont ceux qui mettent beaucoup d’entrain à abuser leurs contemporains. Ainsi du duc de Noailles, dont les « récits charmants, le don de créer des choses de rien pour l’amusement » dissimulaient une « fausseté à toute épreuve ». Mais n’en déplaise à Saint-Simon, Noailles, tout menteur qu’il était à la Cour, sut éviter à la Régence une humiliante banqueroute.

C’est ici que s’arrête la symétrie avec François Hollande, dont l’humour ne fait plus rire personne… Et surtout pas ses partisans qui avaient pris pour argent comptant les engagements de sa longue tirade du 2 mai 2012 : « Moi président… », etc.

Près de deux ans plus tard, le président qu’il est devenu ne s’est pas contenté d’oublier ses promesses. Il a créé un degré supplémentaire dans l’ordre du reniement : rééditer en pire ce qu’il reprochait à son prédécesseur. En matière d’exposition de sa vie privée, bien sûr, où l’on est passé du manque de discrétion au vaudeville pur et simple, mais aussi et surtout en prétendant faire l’inverse de ce qu’il fait… au moment où il le fait !

C’est cette duplicité permanente que dénonce cette semaine Valeurs actuelles en revenant dans le détail sur ce divorce terrifiant entre les mots et les choses. Un divorce qui pourrait bien rendre encore plus périlleuse que prévu la suite du quinquennat.